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12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 21:07

Invitation au dialogue


Le comité Parti de Gauche de la 13ème circonscription organise le vendredi 15 avril 2011 à 18h30 une table ronde sur le thème


Être jeune à Saint Mitre


Notre rencontre se déroulera dans la salle polyvalente du bar l’Oustaou sur la place Neuve au centre du village, aimablement mise à notre disposition par la gérante.

Le Parti de Gauche souhaite débattre avec les parents et les jeunes des difficultés qu’ils rencontrent dans notre village : accès aux loisirs, à la prévention, à un lieu d’accueil…

Le Parti de Gauche se réjouit de votre présence et vous souhaite la bienvenue dans cet espace d’échange et de liberté d’expression.


Contacts : Guy QUEYTAN 06.68.02.80.84
                      Stella APEDDU  06.12.41.70.10

Mail : partidegauche13.13@gmail.com


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12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 13:01

front-de-gauche

C’était une fin de semaine chargée pour deux des trois partis du Front de gauche. Le PCF tenait son conseil national, et le Parti de Gauche de même. L’attention a été retenue par la question de la candidature à l’élection présidentielle. Le fait est que c’est la plus rude des questions à manier pour nous. Mais je plaide pour que ceux qui s’intéressent à nos travaux regardent sur le site du Parti de Gauche à quoi nous nous sommes occupés. A bien d’autres choses. La vérité est que, pour nous, le choix pour la présidentielle est fait depuis le mois de janvier dernier. Nous avons donc travaillé sur un texte concernant l’Euro, sur une résolution générale sur la situation politique, sur le bilan des élections cantonales et sur la situation internationale. Par exemple. Ces travaux sont destinés à homogénéiser la parole et la pensée du groupe humain que nous formons, venu d’horizons si différents, de cultures si diverses. Car s’il est vrai que notre parti a un certain culte de l’action de terrain, pour autant nous n’avons jamais arrêté de réfléchir. De toutes façons nous y sommes contraints. Le parti n’a que trois ans et seulement huit mille membres. Tout est à faire, tout est en construction.


Mais, bien sûr, le résultat de la délibération du PCF était très attendu. Car contrairement à ce que croient beaucoup d’observateurs superficiels, ce qui est entrepris par notre Front de Gauche est extraordinairement compliqué. Il n’y a pas d’équivalent à gauche. Les autres se chargent seulement de régler leurs problèmes internes. Nous, nous devons le faire aussi, comme tout le monde, et en plus nous devons nous accorder à plusieurs partis sur les questions essentielles. Et cet accord ne peut être imposé d’en haut. Pour que la décision finale entraine le plus largement possible, il faut qu’elle ait travaillé son chemin à son rythme. Rappelons qu’il ne s’agit pas de régler une motion de congrès  mais de créer une situation d’intérêt et d’adhésion du plus grand nombre possible de citoyens électeurs dans le pays. Nous travaillons donc sous le regard de tous. Quelle que soit l’issue, il faut donner son avis sans gâcher nos chances. Et le plus rude, pour un militant de bonne volonté, est souvent de se faire une idée précise. On discute. Beaucoup. Donc rien n’est jamais fait d’avance. La conclusion des travaux du PCF n’était nullement fixée à l’avance. Et la suite de la procédure engagée ne l’est pas davantage. De même que la décision de la Gauche Unitaire n’était pas non plus faite d’avance et qu’elle n’a pu être unanime qu’à raison du rythme retenu pour la prendre. Au cas précis de la délibération communiste, il va de soi que l’histoire des deux dernières décennies de politique à gauche ont pesé lourd dans la réflexion des communistes.


Il n’empêche, vaille que vaille, mètre par mètre, la cause avance. Le Front de gauche n’est plus mis en cause dans le PCF sinon à la marge. L’idée de la candidature commune aux législatives et à la présidentielle est acquise dans les trois partis. Ce n’est pas rien. Tous ces acquis simplifient les décisions à prendre parce que celles-ci perdent progressivement la dimension personnelle qu’elles avaient lorsque tout le débat nous était résumé dans la question d’un nom à choisir. L’adoption du document "stratégie", puis le dépôt de documents d’étape sur le programme partagé, l’ouverture de la discussion sur les candidatures aux législatives, cela forme un tout. Il met à sa place ce qui doit encore être fait. Il ne faut pas croire que je ne me rends pas compte des tacles qui me sont faits. A force de répéter des mises en garde sur la personnalisation de l’élection présidentielle, on va finir par devoir en parler aussi aux législatives. Chacun répondra sans doute alors que les candidatures anonymes n’existent pas et que quand elles existent elles ne sont pas considérées comme très performantes. Et l’argument d’après lequel « un élu bien connu » entraine localement, doit peut-être avoir aussi sa signification au plan national. Je sais aussi que pas un d’entre nous n’a jamais parlé d’un dirigeant communiste comme certains d’entre eux parlent de moi. André Gérin s’est distingué à ce sujet par sa vulgarité et agressivité. Mais je le dis assez tranquillement, tout cela n’est rien comparé à l’enjeu de notre réussite commune. Une fois en ordre de marche le Front de Gauche sera attractif dans le peuple profond. Nul ne doit s’arrêter aux pronostics et sondages. La vérité politique est celles des urnes. Personne ne peut croire que les électeurs mentent aux urnes et disent la vérité aux sondeurs. La vérité c’est que nous avons rassemblé dix pour cent des électeurs des cantonales et 250 000 voix de plus qu’aux régionales. C’est notre point de départ pour construire le rapport de force des présidentielles. La vérité c’est que le pays n’en peut plus de la potion libérale et qu’il cherche le moyen d’en finir avec. Et pour cela la vraie partie du choix des alternatives se joue entre le Front National et nous et non entre le PS et l’UMP. La vérité c’est que l’explosion de l’UMP donne à cette prochaine élection une dimension de recomposition politique qui implique tout l’espace politique et donc également la gauche. Mais tout cela a un préalable absolu : l’union du Front de Gauche. Sans cela, il n’y a plus aucun point d’appui. Rien. L’isolement et le témoignage impuissant.  

 

Quelques manœuvres ont également pesé sur nos débats depuis des semaines. En particulier celles du PS. Depuis des semaines, en effet, il fait circuler des argumentaires de zizanie, repris en boucle par les journalistes socialistes des différentes rédactions. Ainsi de ce mythe de « l’OPA sur le PCF » de Jean-Luc  Mélenchon et ainsi de suite. Il s’agit de créer une ambiance de méfiance. Après quoi viennent les petits jeux venimeux. Le PS fait tout pour choisir ostensiblement ses interlocuteurs au Front de Gauche. Tantôt les communistes sont dorlotés, tantôt les voyous répandent la rumeur que nous sommes déjà en train de négocier les places. Et moi, la mienne, bien sûr. Tout est fait pour empoisonner les relations entre partenaires, et tacher de nous englober dans leurs combines sans principes. Le manque de respect est total, la magouille règne. Bref, ils font tout pour faire éclater notre Front. Leur idée simpliste aux élections cantonales était qu’en isolant le Parti de Gauche et en le maltraitant, mais en cajolant les dirigeants et élus communistes, ils trouveraient la faille. Bien sûr les communistes ont bien vu la manœuvre et ils ont très mal ressenti le mépris que ce positionnement exprime à leur égard. Mais notre meilleur allié pour déjouer ces manœuvres a été l’incroyable avidité des cadres du PS dans les élections cantonales. Ils ont méthodiquement organisé l’agression contre le Front de Gauche, et spécialement contre ses sortants communistes. Leurs paroles mielleuses d’unité ont donc été clairement perçues pour ce qu’elles sont : des trompe l’œil. Qui se fie à eux est perdu, il n’y a pas d’exception à cette règle de la fourberie. Les cantonales l’ont montré. Et tout le monde l’a compris dans les rangs du Front de gauche, à présent. Il en résulte une utile défiance quasi absolue. Le PS ne comprend que les rapports de force. Ils ne faut pas fuir cette réalité mais au contraire l’affronter avec clairvoyance et courage. En faisant de la politique en direction du grand nombre. Discutailler avec le PS n’a pas d’intérêt. Qui les voit adopter devant cent seulement des quatre cents membres du conseil national, à l’unanimité, un texte de programme en retrait sur les précédents, après qu’ait éclaté la plus rude crise du capitalisme depuis un siècle, comprend vite à qui il a à faire. L’abstention est le premier courant du PS et de loin !

 

La gauche du PS a disparu corps et bien dans le concert des satisfecits mutuels. Elle n’amende plus, ne propose plus. C’est fini. « C’est un bon texte ! » aurait dit Henri Emmanuelli. Les bras m’en tombent. Lisez ma précédente note pour avoir des éléments concrets d’appréciation sur le contenu réel de ce document. C’est donc avec le grand nombre qu’il faut parler de programme et comparer les propositions pour sortir de la situation dans laquelle la droite plonge le pays.

 

Lire la suite sur le blog de Jean-Luc Melenchon ? Cliquez ICI

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6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 07:00

couv cnr

 

Ces élections cantonales sont caractérisées par un forte participation par rapport à la moyenne nationale 63,64 % au premier tout 76,47 % au deuxième.

 

Il se confirme pour ceux qui en douterait que Caizergues est bien le faux nez de la droite dite républicaine et de la droite extrême.

 

Le candidat du FDG non seulement fait le plein des voix de gauche, mais profite d'une impressionnante mobilisation au second tour de 562 voix supplémentaires. Le candidat de droite restant en lice fait lui aussi le plein de ses voix mais en trouve encore 178 de plus, il bénéficie lui aussi d'une importante mobilisation de l'électorat.

 

+ 796 électeurs de plus

+ 740 exprimés de plus

+ 56 blancs ou nuls supplémentaires


Le FDG doit sur PSL s'employer davantage encore à fonctionner de manière plus conforme à ce que doit être une coalition de forces progressistes. Le PC doit confirmer sa volonté d'habiter le FDG avec d'autres, non seulement dans les phases de campagne, mais également dans celles de préparation des programmes et de choix des candidats. Il ne s'agit pas de contester qu'en l'état actuel il reste en nombre de voix la première force organisée à la gauche du PS et plus encore dans le FDG.

Mais ainsi qu'il est dit plus haut, la réalité locale est que la gauche radicale est composée d'autres forces, sinon organisées, du moins bien présentes en électeurs potentiels et factuels : lors des élections présidentielles les divers candidats d’extrême gauche ont (en voix totalisées) au premier tour fait presque jeu égal avec la candidate du PC.


Ces autres tendances de la gauche radicale et plus particulièrement le NPA, n'ont pas voulu prendre le risque de présenter un candidat sachant que les choses allaient être extrêmement serrées et risquer d'être celles qui avaient gagner le candidat de la droite.


Il faut saluer ce sens de la responsabilité du NPA local. Il faut aussi espérer que le PC fera de même et ne se contentera pas de considérer « que le NPA a eu peur de réaliser un score trop faible ». Sans cela il est quasiment certain qu'il finira par être pris au mot et qu'une liste et/ou des candidatures de gauche, distinct(e)s de celle(s) du FDG et du PS seront présent(e)s lors des prochaines consultations locales, avec des candidats connus, respectés et crédibles.Si nous ne voulons pas voir revenir une situation qui a été celle de PSL durant 20 : la gauche majoritaire dans toutes les élections sauf les municipales et les cantonales il va falloir apprendre à discuter et associer d'autres forces que celles actuellement représentées au conseil municipal.

 

- Il va falloir apprendre à analyser la situation locale, les attentes des habitants, avec un autre grille que celle qui est actuellement utilisée.Il va falloir également revisiter le slogan de campagne des municipales « Écrire une histoire à 8 000 mains », en se rappelant que ce sont les cerveaux qui commandent aux mains... Et faire comme le disait l'autre « Le pari de l'intelligence ».


- Il va falloir réfléchir à la question du cumul des mandats, par souci déontologique d'une part mais par pragmatisme (je reviendrais sur ce concept) : prouver qu'il n'y a pas à PSL qu'une seule personne capable de porter l'étendard progressiste, que la gauche locale est au contraire riche de ressources humaines et militantes. Que dans la France du 21ème siècle un élu progressiste trouve largement de quoi utiliser son énergie et ses compétences sur une responsabilité élective.

 

- Il va falloir revisiter la conception et la mise en œuvre de la démocratie participative, créer des modalités de fonctionnement qui donnerons la possibilité à toutes les volontés militantes et citoyennes de s'exprimer et d'être prises en compte. Non pas dans le souci de préserver des susceptibilités individuelles mais dans celui d'intégrer le maximum de réflexions et de propositions à la détermination commune de ce que doit être le bien commun.


Ceci n'est pas facile, et nécessite plus d'efforts, plus de travail, plus de débats, implique plus de risques que la démagogie. Ceci s'appelle l'éducation populaire, fondamental du programme du Conseil National de la Résistance, sous titré « Les jours heureux ». C'est ainsi qu'il avait été élaboré : dans une large concertation de toutes les forces progressistes. Le Parti de Gauche a inscrit lui aussi l'éducation populaire dans ses fondamentaux, il lui faudra amener ses partenaires à considérer qu'il doit en être de même pour eux.


L'enjeu vital ici et ailleurs, c'est la responsabilité historique de tous les politiques et militants progressistes et d'amener tous les citoyens à se ressaisir du fait politique.


Angélisme ? Rêves de songe creux ? Chimères ? Utopies ? Que non ! C'est au contraire faire preuve du plus grand des pragmatismes que de mener la seule politique qui puisse éviter de se retrouver sous « Le talon de fer » qu'avait cauchemardé Jack London.


Commençons donc dans notre ville à faire de nos concitoyens des producteurs du politique en termes de projets, en termes de contenus, ils sauront également alors raisonner en termes de moyens.


Georges Flangakis

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5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 07:14

Richesse et les pauvres-363cc

Les chiffres sont effarants. Les 100 plus gros revenus français s'élèvent à près de 3 milliards par an : chacun gagne donc en an ce qu'un français moyen pourrait atteindre en 1 300 ans ! À eux seuls ces revenus pourraient doubler le budget de la culture en France, rapporte le site Marianne 2.fr qui se fait l'écho d'une note très opportune, parue en plein débat visant à la suppression de l'ISF. En même temps, huit millions de salariés touchent moins de 950 € par mois.


Le simple rappel du SMIC net mensuel, soit 1072 euros atteste en soi du scandale, mais comme souvent, le diable se cache dans les détails. La nature de ces revenus montre le décalage croissant entre les élites oligarchiques et la masse immense des salariés. Chacun de ces très riches tire 94 % de ses revenus des seuls profits des actions et autre valeurs mobilières. Voilà un démenti au discours sarkoziste selon lequel c'est par le travail qu'on gagne plus. La réforme des retraites va accentuer ce phénomène dans la mesure où les salariés travailleront plus longtemps pour toucher moins de pensions. La pente qui, depuis 1982, a fait passer dix points de la richesse nationale du travail au capital trouve là son illustration.


Le gouvernement ne laisse pas circuler ces chiffres pour en appeler à la révolution citoyenne. Au-delà des discours d'apparats, tout laisse montrer que la spéculation repart de plus belle. Le premier ministre annonce à la suite de cette fuite, la remise en cause de l'ISF. Cela priverait encore l'État de 4,5 milliards de revenus par ans. La justice sociale suppose plutôt que l'on inverse le rapport capital-travail. Nous devons porter le SMIC à 1 500 € et instaurer un revenu maximum. Dans une entreprise, il faut limiter l'écart des salaires à 20, et ainsi toute augmentation du plus haut revenu se répercute immédiatement sur le plus bas. Pour éviter le gaspillage et la spéculation nés des sommes folles, il faut interdire les stocks-options.

 

Benoit Schneckenburger

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27 mars 2011 7 27 /03 /mars /2011 16:39

L’EDUCATION EN QUESTION
MARDI 29 MARS 2011 A 18H30


ecole-publique

 

CERCLE REPUBLICAIN
ROQUEFORT-LA-BEDOULE
centre du village


REUNION / DEBAT


Dans le cadre de l’élaboration du programme partagé du Front de Gauche, le Parti de Gauche vous invite à un débat sur l’éducation avec des membres de sa commission nationale.


QUELLES PROPOSITIONS POUR NOTRE SYSTEME EDUCATIF ?


CONTACTS PG13EST : alaint023@orange.fr / 06 34 52 63 13

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 18:49

Jean-Luc-Melenchon scalewidth 630

 

L’OTAN, dont je condamne l’existence et dont je souhaite que la France se retire, n'a rien à faire en Libye. La résolution 1973 de l’ONU concernant la Libye doit être fidèlement appliquée. Son objet est clairement délimité. Il s’agit de mettre en place une zone d’exclusion aérienne, actuellement effective, pour protéger les civils libyens. La résolution 1973 n’a pas d’autre objectif et exclut clairement toute autre intervention militaire.


Le Conseil de Sécurité de l’ONU dispose d’un organe militaire chargé de mettre en œuvre ses décisions, le comité d’Etat-major établi par l’article 47 de la Charte de l’ONU. C’est à lui et à lui seul de piloter les opérations. Le respect du strict périmètre de  cette résolution est la condition de sa pérennité. Faute de quoi dans les heures qui viennent, l’intervention changeant de signification, l’accord international qui a permis l’absence de veto au sein du Conseil de Sécurité, sera remis en cause.

 

Pour ma part, comme beaucoup de ceux qui ont approuvé la mise en place d’une zone d’exclusion aérienne, je ne soutiendrai pas davantage que par le passé une nouvelle guerre de l’OTAN. Dès lors, c’est le moment de constater la faute qu’a été le retour de la France dans le commandement intégré de l’OTAN et la nomination d’officiers français dans la chaine de commandement que dirigent les Nord-américains. La pression qui s’exerce pour imposer la présence de l’OTAN dans l’action en Libye ne correspond à aucune nécessité militaire pour les Français. Elle signale seulement l’avilissement de ceux qui s’y soumettent, leur perte d’indépendance. Elle rappelle le caractère impérial de cette alliance belliciste dirigée par les Etats Unis d’Amérique.

 

La sortie de l’OTAN et le retrait de l’aventure sans principe en Afghanistan figurent au même agenda que la ferme volonté d’empêcher cette organisation de prendre la direction d’une opération dont nous attendons seulement qu’elle protège la révolution populaire en Libye.

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21 mars 2011 1 21 /03 /mars /2011 11:47

charrier-guyHier soir j'étais à Port St Louis du Rhône, accompagné d' Anne-Marie JIMENEZ, Georges FLANGAKIS et Sylvain GONZALEZ afin d'assister à la proclamation des résultats et d'apporter le soutien du Parti de Gauche à notre candidat Front de Gauche Jean-Marc CHARRIER   Maire et Conseiller Général sortant et à sa remplaçante Claudine SCOTTO.

 

Un premier constat : Le Front de gauche progresse dans notre département comme dans le pays et ce, pour la troisième fois. C’est le signe d’une attente grandissante pour une gauche combative et porteuse d’un projet de société nouveau au service exclusif des populations.

 

Un second constat : Le score du Front National est révélateur de l'impasse politique où nous a conduit la politique de Nicolas SARKOZY et de son Gouvernement ! Il en résulte une profonde désespérance des Français

 

Un troisième constat : Nous observons un véritable effrondement de l' UMP, particularité significative alors que l'échéance de 2012 est en vue.

 

Nous  devons nous mobiliser pour faire gagner la gauche dimanche prochain afin de redonner de l'espoir et un nouvel élan démocratique et social à notre département.

 

Tous les résultats des Bouches du Rhône en cliquant ICI

 

Le diaporama de la réunion publique et de la proclamation des résultats de Port St Louis  est ICI (photos Anne-Marie JIMENEZ)

 

Guy Queytan

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20 mars 2011 7 20 /03 /mars /2011 06:01

nucleaire-tue-avenir

 

Le Parti de Gauche appelle à la sortie du nucléaire et demande la tenue d'un débat démocratique suivi d'un référendum et la mise en place de la planification écologique.

 

Face à la gravité de la situation, le Parti de Gauche a fait part dès le début de la tragédie de sa solidarité pleine et entière avec le peuple japonais et tient à saluer les travailleurs de la centrale de Fukushima qui mettent leur santé en danger en tentant d'éviter le pire.

 

Nous souhaitons également marquer notre souci, au nom de l'intérêt général de tous les peuples, d'engager un véritable débat, sérieux et argumenté, sur la sortie progressive du nucléaire et la nécessaire transition énergétique. Ce débat doit permettre de redonner la parole aux citoyen-ne-s en débouchant sur un référendum.

 

L'énergie n'est pas une marchandise comme les autres, mais un droit fondamental. Aujourd'hui pétrole, nucléaire et désormais huiles et gaz de schiste aiguisent les appêtits du CAC 40, au mépris de la démocratie, de la sécurité des populations et de l'environnement. La privatisation de la filière nucléaire et la force de ses lobbies industriels ont fait de l'énergie un secteur marchand et capitaliste. Or le système capitaliste et sa recherche de profit sont incompatibles avec l'écologie et le bien commun.

 

La catastrophe que vit le Japon est aussi la preuve concrète du danger que fait courir la course au profit et au tout marché. Tchernobyl était la démonstration de l'échec du système bureaucratisé lié au modèle productiviste, Fukushima restera comme l'échec du système capitaliste et du modèle productiviste.

***

Pour toutes ces raisons, le Parti de Gauche est signataire de l'appel solennel commun au gouvernement, signé par de nombreuses organisations, associations, partis et syndicats, et sera présent au rassemblement de dimanche à 15h devant l'Assemblée Nationale à Paris et dans différentes villes de France devant les préfectures.

 

Le Parti de Gauche appelle à la sortie du nucléaire par la planification écologique : économies d'énergie et développement des énergies renouvelables (éoliennes, solaire, géothermie…) et demande immédiatement :

 

- La fermeture de la centrale de Fessenheim et de tous les réacteurs ayant atteint ou dépassé les 30 ans de fonctionnement

- Un audit public sur les risques sismiques et d'inondations liés aux centrales françaises et au centre de recherches nucléaires ITER à Cadarache

- L'arrêt de tous les projets nucléaires de type EPR

- Un moratoire sur tous les centres de stockage des déchets nucléaires

- L'organisation d'un grand débat public suivi d'un référendum portant sur la question de notre production énergétique, et d'un service public de l'énergie pour mettre en oeuvre la sortie progressive et maitrisée du nucléaire ainsi que la diminution du recours aux énergies fossiles

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 11:08

mutualitéNotre système de protection sociale est en grand danger. Le gouvernement porte une lourde responsabilité dans cette situation, par la restriction des ressources affectées à la santé. Les logiques assurancielles et les ponctions financières pesant sur les mutuelles en sont la traduction concrète aujourd'hui.


Il en résulte des difficultés grandissantes que rencontre une grande partie de la population pour se soigner : une personne sur quatre renonce aux soins ; un patient sur deux soigné dans nos centres n’est pas mutualiste.
La mutualité dans ce département a proposé depuis les années 60 une réponse originale et porteuse d’avenir dans l’offre de soins : les centres de santé mutualistes.

Avec la pratique d’une médecine d’équipe, pluridisciplinaire, leur dossier médical commun, leur plateau technique en un seul lieu, nos centres ont révolutionné la pratique médicale au service de la population. Alors que le concept de maisons médicales, remporte, aujourd’hui, l’adhésion aussi bien des professionnels de santé que des pouvoirs publics, l’existence même de ces centres de santé est remise en cause. Dans cette histoire de 50 ans, les médecins généralistes ont occupé une place centrale: fondateurs d’abord, puis moteurs des grands projets de prévention, comme dans le domaine de l’amiante, de la reconnaissance des maladies professionnelles, de dépistage des cancers , mais aussi d’actions de prévention en direction des personnes âgées (ateliers mémoire), des enfants (Bébé vision).
Leur exercice médico-social a toujours été à la hauteur de leur engagement envers des populations de plus en plus en difficultés économiques ; source d’intégration et d’accès a un système de santé de qualité. Les médecins généralistes ne sauraient assurer leurs missions sans la complémentarité précieuse des médecins spécialistes ,d’un plateau technique (radiologie et laboratoire)ainsi que l’engagement des autres membres d’une équipe pluridisciplinaire associant dentistes, infirmières, kinés, secrétaires, et cadres administratifs

Aujourd’hui, à coté des financements publics d’urgence, il est vital pour le Grand Conseil de la Mutualité (GCM) que de nouveaux partenaires mutualistes s’associent à nos partenaires « historiques », à la fois sous l’angle de l’apport financier mais aussi de projets sanitaires à partir de notre réseau.


AUJOURD’HUI LES CENTRES DE SANTE MUTUALISTES SONT MENACES TOUS ENSEMBLE NOUS POUVONS LES SAUVER

 

Apportez votre soutien en cliquant ICI

 

Anne-Marie DELAUBIER Comité Aubagne-La Ciotat

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 09:56

affiche photo

 

 

 

Le front de Gauche de Tarascon avec Enna Dufour, candidate du Parti de Gauche et Alain Dupré, suppléant, cheminot CGT
vous invitent à leur réunion publique


le mardi 15 mars 2011 à 18H00, à la salle Richelieu à Tarascon

 

Plan d'accès en cliquant ICI

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Rejoins le Parti de Gauche !

Notre identité

-Le PG est un parti, c’est-à-dire un outil d’élaboration et d’action collectif au service d’un projet et d’une stratégie cohérents. Nationalement et localement, il présentera des candidat-e-s aux élections. Le PG a vocation à devenir majoritaire et à prendre des responsabilités gouvernementales en s’appuyant sur une mobilisation massive, populaire et citoyenne.

-Le PG se veut donc à la fois accueillant et ouvert à la diversité des expériences, à la parole des «sans voix», soucieux de fraternité et de solidarité. Il ne veut pas de clans, de culte du chef ou de domination des «spécialistes» de la politique.

-Le PG demande à chacun de ses membres d’être en veille et en formation politiques permanentes et d’aider les autres à acquérir cette formation, avec comme objectif d’entraîner une majorité populaire au service d’un projet de transformation en profondeur de la société.

-Le PG se veut présent sur le terrain et mène le combat idéologique et politique contre la droite. Pour ce faire, il s’appuie sur la force collective de ses militantes et de ses militants. Il ne focalise pas son énergie sur des querelles internes ; il la consacre aux mobilisations sociales et à son implication dans la vie associative, syndicale, intellectuelle et culturelle de la société. Le PG agit en faveur de l’implication citoyenne à tous les niveaux de la vie sociale, dans la protestation comme dans l’action gouvernementale.

-Le PG respecte l’ensemble des formations de gauche et leurs cultures politiques. Il recherche sans cesse les formes de convergence et d’unité avec comme priorité de battre la droite et d’engager les transformations que l’intérêt général impose.

-Le PG sait que le changement de société auquel il aspire passe par une autre Europe. Né en partie de la mobilisation populaire qui a conduit au rejet du référendum sur le traité européen, il noue des partenariats avec les forces de gauche en Europe favorables à un projet alternatif d’une Europe sociale et démocratique.

-Nous devons opposer à la mondialisation financière et capitaliste des forces populaires coordonnant leurs efforts et refuser un monde unipolaire. Parce que les grands défis d’aujourd’hui se relèvent à l’échelle mondiale, le PG noue les partenariats nécessaires pour élargir son action au-delà des frontières de la France et de l’Europe.

-Le PG veut porter des orientations politiques et un fonctionnement novateurs et originaux, en particulier en matière de démocratie et de culture populaire. Il est donc un parti en chantiers sur son projet, ses programmes, son organisation. Des chantiers auxquels nous appelons à participer toutes celles et ceux qui souhaitent nous rejoindre.

Notre organisation départementale

Les conseillers nationaux titulaires :

 

- Melody Martin (Aix en Provence)
- Anne-Marie Jimenez (St Mitre les Remparts)
- Nicole Sorrentini (Auriol)
- Guy Queytan (Istres)
- Alain Pagliano (Tarascon)
- Rémy Pernaud (Sausset les Pins)
Les conseillers nationaux suppléants :
 
- Michèle Rouby (Martigues)
- Patrick Vedel (Vitrolles)
- Alexandre Ferretti (Aix en Provence)
- Alain Tarrini (La Bédoule)
- André Thomaso (Tarascon)
- Nicolas Dusserre (Aix en Provence)

 

Les secrétaires départementaux :

 

Michèle ROUBY

Enna DUFOUR

Alain TARRINI                  

Guy QUEYTAN

Mail commun : secretariatdepartementalpg13@gmx.fr                        

 

Les co-secrétaires de comité :

 

Arles-Tarascon-Chateaurenard circonscription 15 et 16  Co-secrétaires :

Enna DUFOUR ennatarascon@aol.com
Alain PAGLIANO alain.pagliano@orange.fr

 

Aix en Provence circonscription 11 et 14  Co-secrétaires : 

Jean-Yves SALVAT jysalvat@yahoo.fr 

Melody MARTIN lisazenide@hotmail.com 

 

Vitrolles-Marignane-Berre circonscription 12 Co-secrétaires :

Didier HACQUART didier.hacquart@orange.fr

Monique LAPOTRE bernard.lapotre@sfr.fr

 

Istres-Martigues-Fos circonscription 13 Co-secrétaires :

Guy QUEYTAN guy.queytan@yahoo.fr

Stella APEDDU stella.apeddu@wanadoo.fr

 

Aubagne-La Ciotat circonscription 9  Co-secrétaires :

Alain TARRINI alaint023@orange.fr

Michèle GIBERT mic.gibert@wanadoo.fr

 

Adhésion au Parti de Gauche

L'adhésion au Parti de Gauche comprend l'abonnement au journal hebdomadaire À Gauche. La cotisation, versée à l'AFPG (Association de Financement du Parti de Gauche*), donne droit à une réduction d'impôts de 66% de son montant.
Ce montant, fixé nationalement, est modulé en fonction des revenus. Une cotisation spécifique est versée par les élus en fonction du montant de leur indemnité.

 La cotisation militante est fixée par tranches en fonction du revenu, elle peut être réglée par prélévement mensuel :

  • inférieur à 1000 € : 36 € annuels
  • entre 1000 et 1500 € : 60 € annuels
  • entre 1500 et 2000 € : 120 € annuels
  • entre 2000 et 3000 € : 300 € annuels
  • supérieur à 3000 € : 480 € annuels et plus...

Pour adhérer en ligne :  http://www.lepartidegauche.fr/paybox/adhesion.html

Je soutiens le Parti de Gauche

Depuis la loi du 19 janvier 1995, seules les personnes physiques sont autorisées à verser des dons. Votre don ouvre droit à une réduction d'impôts. La réduction est égale à 66 % des sommes versées dans la limite de 20 % du revenu imposable.

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