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17 novembre 2011 4 17 /11 /novembre /2011 19:20

jean-luc-melenchon-francois-hollande-nicolas-sarkozy-marineLe programme du candidat socialiste à l'élection présidentielle, François Hollande, a l'air simple : "vous en avez marre de Sarkozy et de la droite, un seul recours : François Hollande. Tous ceux qui se mettront en travers de ce chemin seront des alliés du Front National".

Battre Sarkozy, d'accord. Mais pourquoi faire ? Remplacer une politique de rigueur de droite par une politique de rigueur de gauche ?

Remplacer la soumission de droite aux marchés financiers par la soumission de gauche aux marchés financiers ? Remplacer les suppressions de droite de poste de fonctionnaires par des suppressions de gauche ? Remplacer les critiques de droite sur le référendum grec par des critiques de gauche ?

Je continue ? Le Front de Gauche et son candidat à l'élection présidentielle Jean-Luc Mélenchon ont un gros défaut : ils ont un programme. Pire, ils ont un programme cohérent, réalisable, de protection des peuples contre l'avidité des marchés et des banquiers qui enfoncent les salariés dans la misère et la planète dans l'abîme. C'est bien cela que le Parti Socialiste semble nous reprocher, à travers les petites phrases assassines, quand elles ne sont pas insultantes, de ces caciques.

La campagne présidentielle, si elle prend cette tournure, ne servira à personne. Ni aux insultés, ni aux insulteurs. Entre Jack Lang qui déclare à l'AFP que  « d'étranges convergences dans l'insulte grossière unissent le cabinet noir de l'Elysée, Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen » et Pierre Moscovici qui affirme que les propos de Jean-Luc Mélenchon dans le Journal du Dimanche "serve l'extrême droite", on voit bien où cela nous mène. Pourquoi ne répondent-ils pas sur le fond ?

 

C'est ce que nous leur proposons : un débat de 1er tour entre Jean-Luc Mélenchon et François Hollande. Point d'invectives : propositions contre propositions. Stratégie de sortie de crise contre stratégie de sortie de crise. Quelle politique européenne ? Quel positionnement face au nucléaire ? Avoir des désaccords et en débattre n'a jamais fait progresser le Front National. L'invective, le flou quant aux perspectives et la division factice, par contre si. Ceux qui donnent des leçons devraient s'en souvenir : ils étaient aux manettes du Parti Socialiste en 1995, 2002 et 2007. Soit autant de défaites de la gauche, dont une absence au second tour qui profita à l'extrême droite en 2002…

 Gabriel AMARD secrétaire national du Parti de gauche

 

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10 novembre 2011 4 10 /11 /novembre /2011 17:15

legislatives-2012

 

Le Parti de Gauche a décidé aujourd’hui d 'écrire au Parti Socialiste et à Europe Ecologie – Les Verts pour les interpeller au sujet des législatives (voir copie du courrier ci-dessous)


Le Parti de Gauche propose une réunion à chacun de ces partis sur la question des circonscriptions où la gauche pourrait risquer d’être éliminée du second tour au profit d’un duel droite-FN.


Le Parti de Gauche observe en effet que lors des dernières cantonales et lors de précédents scrutins législatifs, la gauche s’est rassemblée derrière une candidature commune sur les quelques cantons et circonscriptions qui couraient ce danger.

 

"Les dernières élections cantonales ont vu des accords de l’ensemble des forces de gauche dans quelques circonscriptions pour éviter à la gauche d’être éliminée du second tour au profit d’un duel droite-FN. Par le passé, nous notons que ce même type d’alliance localisée s’est négocié pour les législatives. Nous savons malheureusement l’actualité ( maintenue) de ce danger. Cette situation nous préoccupe comme vous. Aussi, sans rompre avec la stratégie du Front de Gauche de candidatures indépendantes au premier tour, sommes-nous prêts à œuvrer pour limiter au maximum ces cas. Nous pensons nécessaire de les anticiper et non de les gérer au coup par coup. Il serait déjà utile de comparer nos informations : dans quels départements, dans quelles circonscriptions ce risque existe-t-il ? Nous sommes disponibles pour travailler à la représentation proportionnelle des forces de gauche sur l’ensemble de ces circonscriptions repérées comme, nous semble-t-il, vous l’avez-vous-même déjà entrevu avec d’autres forces.

Dans l’attente de votre réponse sur cette proposition,

Fraternellement

Eric Coquerel
Secrétaire national chargé des relations extérieures et des élections"

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 18:49

Jean-Luc-Melenchon scalewidth 630

 

L’OTAN, dont je condamne l’existence et dont je souhaite que la France se retire, n'a rien à faire en Libye. La résolution 1973 de l’ONU concernant la Libye doit être fidèlement appliquée. Son objet est clairement délimité. Il s’agit de mettre en place une zone d’exclusion aérienne, actuellement effective, pour protéger les civils libyens. La résolution 1973 n’a pas d’autre objectif et exclut clairement toute autre intervention militaire.


Le Conseil de Sécurité de l’ONU dispose d’un organe militaire chargé de mettre en œuvre ses décisions, le comité d’Etat-major établi par l’article 47 de la Charte de l’ONU. C’est à lui et à lui seul de piloter les opérations. Le respect du strict périmètre de  cette résolution est la condition de sa pérennité. Faute de quoi dans les heures qui viennent, l’intervention changeant de signification, l’accord international qui a permis l’absence de veto au sein du Conseil de Sécurité, sera remis en cause.

 

Pour ma part, comme beaucoup de ceux qui ont approuvé la mise en place d’une zone d’exclusion aérienne, je ne soutiendrai pas davantage que par le passé une nouvelle guerre de l’OTAN. Dès lors, c’est le moment de constater la faute qu’a été le retour de la France dans le commandement intégré de l’OTAN et la nomination d’officiers français dans la chaine de commandement que dirigent les Nord-américains. La pression qui s’exerce pour imposer la présence de l’OTAN dans l’action en Libye ne correspond à aucune nécessité militaire pour les Français. Elle signale seulement l’avilissement de ceux qui s’y soumettent, leur perte d’indépendance. Elle rappelle le caractère impérial de cette alliance belliciste dirigée par les Etats Unis d’Amérique.

 

La sortie de l’OTAN et le retrait de l’aventure sans principe en Afghanistan figurent au même agenda que la ferme volonté d’empêcher cette organisation de prendre la direction d’une opération dont nous attendons seulement qu’elle protège la révolution populaire en Libye.

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20 mars 2011 7 20 /03 /mars /2011 06:01

nucleaire-tue-avenir

 

Le Parti de Gauche appelle à la sortie du nucléaire et demande la tenue d'un débat démocratique suivi d'un référendum et la mise en place de la planification écologique.

 

Face à la gravité de la situation, le Parti de Gauche a fait part dès le début de la tragédie de sa solidarité pleine et entière avec le peuple japonais et tient à saluer les travailleurs de la centrale de Fukushima qui mettent leur santé en danger en tentant d'éviter le pire.

 

Nous souhaitons également marquer notre souci, au nom de l'intérêt général de tous les peuples, d'engager un véritable débat, sérieux et argumenté, sur la sortie progressive du nucléaire et la nécessaire transition énergétique. Ce débat doit permettre de redonner la parole aux citoyen-ne-s en débouchant sur un référendum.

 

L'énergie n'est pas une marchandise comme les autres, mais un droit fondamental. Aujourd'hui pétrole, nucléaire et désormais huiles et gaz de schiste aiguisent les appêtits du CAC 40, au mépris de la démocratie, de la sécurité des populations et de l'environnement. La privatisation de la filière nucléaire et la force de ses lobbies industriels ont fait de l'énergie un secteur marchand et capitaliste. Or le système capitaliste et sa recherche de profit sont incompatibles avec l'écologie et le bien commun.

 

La catastrophe que vit le Japon est aussi la preuve concrète du danger que fait courir la course au profit et au tout marché. Tchernobyl était la démonstration de l'échec du système bureaucratisé lié au modèle productiviste, Fukushima restera comme l'échec du système capitaliste et du modèle productiviste.

***

Pour toutes ces raisons, le Parti de Gauche est signataire de l'appel solennel commun au gouvernement, signé par de nombreuses organisations, associations, partis et syndicats, et sera présent au rassemblement de dimanche à 15h devant l'Assemblée Nationale à Paris et dans différentes villes de France devant les préfectures.

 

Le Parti de Gauche appelle à la sortie du nucléaire par la planification écologique : économies d'énergie et développement des énergies renouvelables (éoliennes, solaire, géothermie…) et demande immédiatement :

 

- La fermeture de la centrale de Fessenheim et de tous les réacteurs ayant atteint ou dépassé les 30 ans de fonctionnement

- Un audit public sur les risques sismiques et d'inondations liés aux centrales françaises et au centre de recherches nucléaires ITER à Cadarache

- L'arrêt de tous les projets nucléaires de type EPR

- Un moratoire sur tous les centres de stockage des déchets nucléaires

- L'organisation d'un grand débat public suivi d'un référendum portant sur la question de notre production énergétique, et d'un service public de l'énergie pour mettre en oeuvre la sortie progressive et maitrisée du nucléaire ainsi que la diminution du recours aux énergies fossiles

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26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 13:10

copresidencepg2010

 

1) La grande régression

 

Nous vivons un moment très singulier de l'histoire du monde. Le capital a progressivement étendu sa sphère d'influence dans tous les domaines de nos vies. Tout ce qui faisait obstacle à la recherche du profit maximum à court terme a été systématiquement combattu et progressivement rongé. Faute de contre-pouvoirs suffisants, les tendances profondes du capitalisme se sont exprimées sans limites. Il en résulte une crise d'ensemble, qui menace le développement général de l'humanité et qui substitue à la promesse d'un monde meilleur l'assurance d'une grande régression. Cela signifie que nous sommes à la veille de bifurcations décisives rompant avec les normes qui ont organisé jusqu'ici le monde et notamment celles qui ont dominé ces dernières décennies. De grands changements sont à l'ordre du jour car il devient impossible de continuer comme avant.

 

La plus irréversible des impasses où nous voilà parvenus est la crise environnementale qui menace les conditions même du développement de l'humanité. La catastrophe provoquée par BP dans le Golfe du Mexique, la pollution du Golfe de Guinée et tant d'autres (déforestations, boues rouges, etc) sont venues rappeler l'urgence écologique face à laquelle les sommets internationaux, dominés par les grandes puissances capitalistes, affichent leur totale impuissance, quand ce n'est pas leur laxisme. En 1992, le sommet de Rio sur le « développement durable » débouchait sur des engagements insuffisants. Mais au moins étaient-ils grossièrement chiffrés ! Vingt ans plus tard, la situation environnementale s'est profondément dégradée. La catastrophe écologique a commencé à produire ses effets. Les premiers réfugiés climatiques sont apparus. Des paliers irréversibles dans la dégradation de notre écosystème ont été franchis, en particulier en matière de réchauffement climatique et de destruction de la biodiversité. Par leur pillage intensif, certaines ressources alimentaires fondamentales, comme les poissons, commencent à se raréfier. La question de savoir si tous les hommes pourront se nourrir commence à se poser. Pourtant, le dernier sommet en date consacré au climat, celui de Copenhague, incapable de résoudre les contradictions entre les grands pays industriels, n'a débouché sur aucun engagement. Ce fait seul condamne le capitalisme et le productivisme qui en découle.

 

Le monde est aussi frappé par une crise économique majeure. La crise financière a atteint la chaîne de dettes, à laquelle est suspendu tout le système économique, en son maillon faible des « subprimes ». Ce faisant, elle a révélé et aggravé l'instabilité d'un capitalisme assis sur le surendettement et la domination de la finance. Hier locomotive de la croissance, l'immobilier diffuse à jets continus la récession dans les veines de l'économie des Etats-Unis et partant de là, de celle du monde. Aucun « relais de croissance » n'était en capacité de remplacer le moteur financier cahotant du système.

 

Lire la suite sur le site National du PG en cliquant ici

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30 octobre 2010 6 30 /10 /octobre /2010 12:23
Alors que devant l'autisme du Gouvernement le Pays s'enfonce dans le chaos, tandis que les Français se sentent de plus en plus déconsidérés par leurs dirigeants, face à l'édifiant mépris affiché envers les Syndicats et le monde ouvrier et au moment où le sol se dérobe sous les pieds de Nicolas SARKOZY, il convient de rappeler quelques pistes concernant la pérennité de notre régime de Retraite. Déjouons donc quelques mensonges.....
La réforme en question, première approche .....

Pour le gouvernement : "On vit plus longtemps donc il est logique de travailler plus longtemps"

Pour le Parti de Gauche : " Nous considérons que la finalité du travail n'est pas de travailler plus, mais de produire les biens dont la société a besoin. Lorsque ces biens ont été produits, ce n'est pas la peine de travailler plus, cela ne sert à rien, sinon à gaspiller, à produire des biens inutiles, des biens jetables"

Pour le gouvernement : "Le choix du système par capitalisation répond à une nécessité économique"

Pour le Parti de Gauche : "Cela répond en fait à un objectif de longue date du patronat et à une recommandation de la Commission Européenne, la retraite par capitalisation signifie la ruine des retraités. Le système par répartition est un acquis de 1946 qui repose sur la solidarité
 intergénérationnelle.

Pour le gouvernement : "La cause du déficit serait essentiellement démographique"

Pour le Parti de Gauche : " C'est faux! Les deux tiers du déficit sont à ce jour imputables à la dégradation du contexte économique. Le régime de retraite par répartition était excédentaire en 2001. Nous ne vivions alors pas moins longtemps! La question première est celle de l'emploi. Ce n'est pas le nombre d'actifs potentiels qui importe, mais bien le nombre de cotisants car des actifs au chômage ne participent pas au financement des retraites.

Pour le gouvernement : "La question des retraites est une question purement financière et comptable"

Pour le Parti de Gauche : "C'est avant tout un enjeu de civilisation qui conditionne une large part de l'existence de chaque individu, constitue un pilier essentiel de la solidarité entre générations dans une société du vivre ensemble et pose la volonté d'une vie en bonne santé après le travail. Son financement repose sur une autre répartition des richesses à commencer par les exonérations de cotisations sociales qui représentent 30 milliards d'euros soit le déficit du régime de retraite en 2010.

Pour le gouvernement : "Il faut prendre exemple sur nos voisins européens qui ont tous augmenté l'âge de départ et introduit la capitalisation"

Pour le Parti de Gauche : " La situation est extrêmement différente dans les autres pays d' Europe. par exemple en Allemagne le renouvellement naturel n'est plus assuré depuis 1972 et la population diminue depuis 2002. En Espagne le taux de fécondité est de 1.4, en Suède il est de 1.75, en Hongrie la population a baissé de 8% depuis 1982. Toujours en Suède, avec la crise financière, le revenu des retraités s'est effondré malgré le système par points tant vanté. Ce n'est pas parce que certains pays mènent une mauvaise politique qu'il faut les imiter.

Pour le gouvernement : " Les salariés ont toute liberté de partir entre 62 et 67 ans"

Pour le Parti de Gauche : " La liberté ne vaut que pour ceux qui ont le nombre de trimestres suffisant, sinon c'est la liberté de percevoir des pensions réduites de 5% par année de cotisation manquante. Avec le projet du gouvernement c'est 80% de l'effort pour lmes salariés et le travail, 7% seulement pour les hauts revenus. Les Femmes touchent aujourd'hui 826 euros de retraite en moyenne soit 38% de moins que les Hommes. Avec le passage de 65 à 67 ans pour une retraite sans décote, leur situation va encore se dégrader de façon considérable.

Pour le gouvernement : " C'est le taux d'incapacité qui permet de mesurer la pénibilité à laquelle sont confrontés les salariés"

Pour le Parti de Gauche : " Il ne faut pas confondre incapacité, invalidité et pénibilité. En effet, les conséquences d'un travail pénible peuvent se déclarer plusieurs années après le départ en retraite. Ce n'est pas parce qu'on ne dispose pas d'un taux d'invalidité reconnu au moment de partir en retraite qu'on ne subira pas les conséquences d'un travail pénible quelques années plus tard. Les travailleurs exposés à des conditions de travail pénible doivent pouvoir prendre leur retraite avant 60ans, à taux pleins et sans décote.

Pour en savoir plus cliquez ICI
Texte contributeur Guy QUEYTAN
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Rejoins le Parti de Gauche !

Notre identité

-Le PG est un parti, c’est-à-dire un outil d’élaboration et d’action collectif au service d’un projet et d’une stratégie cohérents. Nationalement et localement, il présentera des candidat-e-s aux élections. Le PG a vocation à devenir majoritaire et à prendre des responsabilités gouvernementales en s’appuyant sur une mobilisation massive, populaire et citoyenne.

-Le PG se veut donc à la fois accueillant et ouvert à la diversité des expériences, à la parole des «sans voix», soucieux de fraternité et de solidarité. Il ne veut pas de clans, de culte du chef ou de domination des «spécialistes» de la politique.

-Le PG demande à chacun de ses membres d’être en veille et en formation politiques permanentes et d’aider les autres à acquérir cette formation, avec comme objectif d’entraîner une majorité populaire au service d’un projet de transformation en profondeur de la société.

-Le PG se veut présent sur le terrain et mène le combat idéologique et politique contre la droite. Pour ce faire, il s’appuie sur la force collective de ses militantes et de ses militants. Il ne focalise pas son énergie sur des querelles internes ; il la consacre aux mobilisations sociales et à son implication dans la vie associative, syndicale, intellectuelle et culturelle de la société. Le PG agit en faveur de l’implication citoyenne à tous les niveaux de la vie sociale, dans la protestation comme dans l’action gouvernementale.

-Le PG respecte l’ensemble des formations de gauche et leurs cultures politiques. Il recherche sans cesse les formes de convergence et d’unité avec comme priorité de battre la droite et d’engager les transformations que l’intérêt général impose.

-Le PG sait que le changement de société auquel il aspire passe par une autre Europe. Né en partie de la mobilisation populaire qui a conduit au rejet du référendum sur le traité européen, il noue des partenariats avec les forces de gauche en Europe favorables à un projet alternatif d’une Europe sociale et démocratique.

-Nous devons opposer à la mondialisation financière et capitaliste des forces populaires coordonnant leurs efforts et refuser un monde unipolaire. Parce que les grands défis d’aujourd’hui se relèvent à l’échelle mondiale, le PG noue les partenariats nécessaires pour élargir son action au-delà des frontières de la France et de l’Europe.

-Le PG veut porter des orientations politiques et un fonctionnement novateurs et originaux, en particulier en matière de démocratie et de culture populaire. Il est donc un parti en chantiers sur son projet, ses programmes, son organisation. Des chantiers auxquels nous appelons à participer toutes celles et ceux qui souhaitent nous rejoindre.

Notre organisation départementale

Les conseillers nationaux titulaires :

 

- Melody Martin (Aix en Provence)
- Anne-Marie Jimenez (St Mitre les Remparts)
- Nicole Sorrentini (Auriol)
- Guy Queytan (Istres)
- Alain Pagliano (Tarascon)
- Rémy Pernaud (Sausset les Pins)
Les conseillers nationaux suppléants :
 
- Michèle Rouby (Martigues)
- Patrick Vedel (Vitrolles)
- Alexandre Ferretti (Aix en Provence)
- Alain Tarrini (La Bédoule)
- André Thomaso (Tarascon)
- Nicolas Dusserre (Aix en Provence)

 

Les secrétaires départementaux :

 

Michèle ROUBY

Enna DUFOUR

Alain TARRINI                  

Guy QUEYTAN

Mail commun : secretariatdepartementalpg13@gmx.fr                        

 

Les co-secrétaires de comité :

 

Arles-Tarascon-Chateaurenard circonscription 15 et 16  Co-secrétaires :

Enna DUFOUR ennatarascon@aol.com
Alain PAGLIANO alain.pagliano@orange.fr

 

Aix en Provence circonscription 11 et 14  Co-secrétaires : 

Jean-Yves SALVAT jysalvat@yahoo.fr 

Melody MARTIN lisazenide@hotmail.com 

 

Vitrolles-Marignane-Berre circonscription 12 Co-secrétaires :

Didier HACQUART didier.hacquart@orange.fr

Monique LAPOTRE bernard.lapotre@sfr.fr

 

Istres-Martigues-Fos circonscription 13 Co-secrétaires :

Guy QUEYTAN guy.queytan@yahoo.fr

Stella APEDDU stella.apeddu@wanadoo.fr

 

Aubagne-La Ciotat circonscription 9  Co-secrétaires :

Alain TARRINI alaint023@orange.fr

Michèle GIBERT mic.gibert@wanadoo.fr

 

Adhésion au Parti de Gauche

L'adhésion au Parti de Gauche comprend l'abonnement au journal hebdomadaire À Gauche. La cotisation, versée à l'AFPG (Association de Financement du Parti de Gauche*), donne droit à une réduction d'impôts de 66% de son montant.
Ce montant, fixé nationalement, est modulé en fonction des revenus. Une cotisation spécifique est versée par les élus en fonction du montant de leur indemnité.

 La cotisation militante est fixée par tranches en fonction du revenu, elle peut être réglée par prélévement mensuel :

  • inférieur à 1000 € : 36 € annuels
  • entre 1000 et 1500 € : 60 € annuels
  • entre 1500 et 2000 € : 120 € annuels
  • entre 2000 et 3000 € : 300 € annuels
  • supérieur à 3000 € : 480 € annuels et plus...

Pour adhérer en ligne :  http://www.lepartidegauche.fr/paybox/adhesion.html

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