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5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 07:14

Richesse et les pauvres-363cc

Les chiffres sont effarants. Les 100 plus gros revenus français s'élèvent à près de 3 milliards par an : chacun gagne donc en an ce qu'un français moyen pourrait atteindre en 1 300 ans ! À eux seuls ces revenus pourraient doubler le budget de la culture en France, rapporte le site Marianne 2.fr qui se fait l'écho d'une note très opportune, parue en plein débat visant à la suppression de l'ISF. En même temps, huit millions de salariés touchent moins de 950 € par mois.


Le simple rappel du SMIC net mensuel, soit 1072 euros atteste en soi du scandale, mais comme souvent, le diable se cache dans les détails. La nature de ces revenus montre le décalage croissant entre les élites oligarchiques et la masse immense des salariés. Chacun de ces très riches tire 94 % de ses revenus des seuls profits des actions et autre valeurs mobilières. Voilà un démenti au discours sarkoziste selon lequel c'est par le travail qu'on gagne plus. La réforme des retraites va accentuer ce phénomène dans la mesure où les salariés travailleront plus longtemps pour toucher moins de pensions. La pente qui, depuis 1982, a fait passer dix points de la richesse nationale du travail au capital trouve là son illustration.


Le gouvernement ne laisse pas circuler ces chiffres pour en appeler à la révolution citoyenne. Au-delà des discours d'apparats, tout laisse montrer que la spéculation repart de plus belle. Le premier ministre annonce à la suite de cette fuite, la remise en cause de l'ISF. Cela priverait encore l'État de 4,5 milliards de revenus par ans. La justice sociale suppose plutôt que l'on inverse le rapport capital-travail. Nous devons porter le SMIC à 1 500 € et instaurer un revenu maximum. Dans une entreprise, il faut limiter l'écart des salaires à 20, et ainsi toute augmentation du plus haut revenu se répercute immédiatement sur le plus bas. Pour éviter le gaspillage et la spéculation nés des sommes folles, il faut interdire les stocks-options.

 

Benoit Schneckenburger

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 11:08

mutualitéNotre système de protection sociale est en grand danger. Le gouvernement porte une lourde responsabilité dans cette situation, par la restriction des ressources affectées à la santé. Les logiques assurancielles et les ponctions financières pesant sur les mutuelles en sont la traduction concrète aujourd'hui.


Il en résulte des difficultés grandissantes que rencontre une grande partie de la population pour se soigner : une personne sur quatre renonce aux soins ; un patient sur deux soigné dans nos centres n’est pas mutualiste.
La mutualité dans ce département a proposé depuis les années 60 une réponse originale et porteuse d’avenir dans l’offre de soins : les centres de santé mutualistes.

Avec la pratique d’une médecine d’équipe, pluridisciplinaire, leur dossier médical commun, leur plateau technique en un seul lieu, nos centres ont révolutionné la pratique médicale au service de la population. Alors que le concept de maisons médicales, remporte, aujourd’hui, l’adhésion aussi bien des professionnels de santé que des pouvoirs publics, l’existence même de ces centres de santé est remise en cause. Dans cette histoire de 50 ans, les médecins généralistes ont occupé une place centrale: fondateurs d’abord, puis moteurs des grands projets de prévention, comme dans le domaine de l’amiante, de la reconnaissance des maladies professionnelles, de dépistage des cancers , mais aussi d’actions de prévention en direction des personnes âgées (ateliers mémoire), des enfants (Bébé vision).
Leur exercice médico-social a toujours été à la hauteur de leur engagement envers des populations de plus en plus en difficultés économiques ; source d’intégration et d’accès a un système de santé de qualité. Les médecins généralistes ne sauraient assurer leurs missions sans la complémentarité précieuse des médecins spécialistes ,d’un plateau technique (radiologie et laboratoire)ainsi que l’engagement des autres membres d’une équipe pluridisciplinaire associant dentistes, infirmières, kinés, secrétaires, et cadres administratifs

Aujourd’hui, à coté des financements publics d’urgence, il est vital pour le Grand Conseil de la Mutualité (GCM) que de nouveaux partenaires mutualistes s’associent à nos partenaires « historiques », à la fois sous l’angle de l’apport financier mais aussi de projets sanitaires à partir de notre réseau.


AUJOURD’HUI LES CENTRES DE SANTE MUTUALISTES SONT MENACES TOUS ENSEMBLE NOUS POUVONS LES SAUVER

 

Apportez votre soutien en cliquant ICI

 

Anne-Marie DELAUBIER Comité Aubagne-La Ciotat

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19 février 2011 6 19 /02 /février /2011 10:03

 

0087

 

Mercredi soir affluence des grands soirs, (oui des grands soirs pas simplement du grand soir), car il s'agit bien d'une révolution citoyenne qui se lève dans notre pays.


Une salle comble pour soutenir les candidats du Front de gauche à une élection partielle dont personne ou presque ne parle, une salle comble pour débattre du travail, du travail en miette que nous impose le capital, du travail jetable, de la précarité, du travail sous payé des femmes, des délocalisations à domicile par l'intermédiaire des travailleurs sans papiers sur exploités, sans droits si ce n'est celui qu'ils désirent conquérir.


Jean Luc Mélenchon était présent dans cette salle qui sentait le tumulte et le fracas, le tumulte des postiers du 2ème arrondissement de marseille en grève depuis 134 jours, du fracas des Fralib jetés comme une vieille dosette de thé, des Fralib qui relèvent la tête et revendiquent le droit à l'expropriation des patrons.


Une salle de débats passionnés venue écouter Christian Picquet dénoncer la politique antisociale du gouvernement et de Sakozy, une salle comble pour écouter Pierre Laurent nous parler du travail et de la nécessité pour la gauche de réinvestir ce champ pour regagner la bataille de l'opinion chez les salariés, et en particulier ceux qui vient le travail le plus durement les ouvriers et les précaires.


Une salle qui a débattu chaleureusement avec Jean Luc le considérant comme le candidat naturel du Front De Gauche et s'adressant à lui comme si tous faisait partie d'un même parti, celui des travailleurs au sens noble du terme.


Jean Luc a brossé les éléments du programme sur lequel va se battre le Front de Gauche dans la période à venir : la planification écologique, la défense de la laïcité, la lutte pour l'unité des salariés des hommes et des femmes, des français et des immigrés, l'augmentation des salaires, la reconstruction des services publics détruits par la droite arrogante.


Il a fait une référence forte à la "révolution Citoyenne"  en action sur les rives sud de la Méditerranée, en espérant de ses voeux, la contagion à tout l'espace méditerranéen France comprise évidemment. Et pour terminer cette journée faite de rencontres avec les travailleurs du port, les postiers en grève, l'Internationale était de mise et a rassemblé encore un peu plus tous les militants présents.

 

Alain BARLATIER

 

Voir le diaporama de la soirée (photos A.Marie Jimenez) en cliquant ICI

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11 janvier 2011 2 11 /01 /janvier /2011 14:47

melenchonphotostephaneburlot« La direction du Parti communiste enclenche, vendredi 7 janvier, sa consultation interne sur la présidentielle. Et donne tous les signes à ses militants qu’il faut se ranger derrière Jean-Luc Mélenchon », annonce ce matin Le Monde. « Dans un projet d’ « adresse aux communistes », la direction dessine les contours d’une candidature du Front de gauche – l’alliance passée avec le Parti de gauche et la Gauche unitaire – et un calendrier qui ne laissent plus guère de place au doute : le PCF est en train de se ranger derrière Jean-Luc Mélenchon.  Ainsi celle-ci doit être « porteuse de la démarche de rassemblement entreprise avec le Front de gauche » et « entourée d’un dispositif collectif qui fait vivre la diversité de la démarche engagée ». Le texte explique que, comme le prévoient les statuts, un appel à candidature est lancé dans le parti. Mais la préférence est clairement affirmée : « tout doit être fait » pour parvenir à une « candidature porteuse de rassemblement ».

 

Le quotidien va un peu vite en besogne et le porte-parole du PCF, Olivier Dartigolles, s’agace : « Ça ne se passe pas du tout comme ça. Aujourd’hui, tous les scenarii sont mis sur la table, sans exclusive ni interdit. On lance un processus, avec un appel à candidature, qui doit nous amener à désigner le candidat au printemps. Absolument rien dans ce document n’accrédite l’idée qu’il faut se ranger derrière Jean-Luc Mélenchon. A moins de croire que l’alerte du Monde remplace la souveraineté des communistes. »

 

 On comprend bien qu’il serait pour le moins maladroit d’annoncer que les jeux sont faits au moment de l’ouverture de la consultation ! Si Le Monde voulait gêner à la fois les communistes et Mélenchon, il ne s’y prendrait pas autrement… Les partisans d’André Chassaigne ne vont pas manquer de se raidir. Mais leur favori part avec un handicap de taille : « Si ce dernier est apprécié des militants, il est un quasi inconnu du grand public », comme le résume 20 minutes. Qui précise : « nombre de militants et d’élus communistes ont déjà dit qu’ils n’accepteraient pas de voir le brassard PCF porté à la présidentielle par une personnalité extérieure, qui plus est ex-socialiste ». Il est certes douloureux pour qui a le parti chevillé au coeur de ne le voir représenté sous ses propres couleurs. Mais Marie-George Buffet, candidate PCF pur sucre, a explosé à 1,9% lors de la dernière présidentielle, la dynamique du Front de gauche a permis d’enrayer spectaculairement ce déclin électoral et la personnalité du médiatique co-président du Parti de gauche, tribun et débatteur hors-pair, marque des points dans l’opinion......

 

Lire la suite sur le blog d' Olivier BONNET en cliquant ICI

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16 novembre 2010 2 16 /11 /novembre /2010 13:15

Conscap

Cette note parle du remaniement. Bof ! Et de la lutte pour la retraite a soixante ans. Et du G20. Et des agressions dont je fais l’objet. En cadeau un document. La retranscription de l’entretien de Dominique Strauss Kahn sur France inter, établie par mes camarades. Un document exclusif. Vous ne trouverez ça nulle part ailleurs. L’objectif est de vous inviter à faire du commentaire argumenté. Les meilleurs morceaux serviront dans nos argumentaires.


 Ce remaniement n’est guère excitant. On en fait le tour en constatant que c’est un gouvernement de combat. C’est une banalité de dire qu’il est conçu comme une machine pour 2012. C’est presque savoureux de voir la continuité dans l’art du débauchage que cultive cet homme. Piquer le porte parole de Villepin ça fait riche tout de même ! Ce type à l’art de sentir le traitre qui sommeille dans chaque carriériste qui gémit de désir en passant devant la vitrine des pâtissiers de la politique. C’est plus sérieux de noter que ce gouvernement est un beau bras d’honneur au mouvement social et de souligner la hâte qu’ont beaucoup, à la faveur de l’agitation que permettent les commentaires et sous pesage de ministres et vice ministres, de parler d’autres choses, enfin ! Ce ne doit pas être notre cas, j’y reviens dans un instant.

 

Cependant on voit bien la force que se donne Nicolas Sarkozy avec cette formation gouvernementale de chasse en meute. Son analyse est que la situation, et notamment le choc de la crise, ne laisse place à aucun « Centre », ni au demi mesure en général. Ce n’est pas non plus seulement un inconvénient pour lui d’avoir pulvérisé le prétendu Centre. Le voila à présent encombré de trois candidats déclarés, au moins. Mon pronostic est que, menés par des chefs de circonstances aux convictions flottantes ces gens n’iront pas loin. Trop compromis. Ils ont tout avalé et notamment le plus infâme de la politique sécuritaire et xénophobe comme des moments antisociaux les plus brutaux du Sarkozysme. Qui va les croire quand ils vont réapparaitre en chevalier blanc de la cohésion sociale et de l’humanisme chrétien ? C’est dire comme il est contre performant de leur faire des ronds de jambes. Ces gens là ne sont pas de notre camp. Ces gens sont l’adversaire. Comptons sur nous pour rappeler sans cesse leurs états de service.

 

Quiconque s’en approche sera donc contaminé par les maladies les plus virulentes de la scène politique décomposée de notre temps: opportunisme, politicailleries, carriérisme, mépris total du peuple pris pour une masse confuse sans cervelle que l’on peut abuser en retournant sa veste. Le rôle de la gauche est d’entrainer toute la société derrière sa vision d’un futur collectif. Dans cette façon de voir les combines d’appareils et appareillons n’ont aucun espace. Raison de plus pour scotcher à temps sur leurs erreurs ceux qui se risqueraient à fréquenter les amuse gueules usés du Sarkozysme.

 

Pour lire la suite sur le blog de Jean-Luc MELENCHON cliquez ICI

 

La photo illustrant cet article est destinée à Christine LAGARDE afin de lui démontrer qu'un "révolutionnaire virage à 360°" vous replace très exactement dans le même axe :-)

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 17:14

La France vient d'être rétrogradée à la 44ème place mondiale des pays au titre de la liberté de la presse. La raison principale de cette perte de rang ? "La majorité présidentielle a eu des mots très menaçants, parfois insultants, envers certains médias", selon Reporters Sans Frontières . Plus globalement, c'est "l'immixtion importante du pouvoir dans l'activité des médias" qui est également sanctionnée.


Ah. J'ai dû mal lire la presse, justement. Je pensais que le responsable de tous les maux des journalistes était Jean-Luc Mélenchon… On va se livrer à un petit jeu. Je vais écrire une citation à propos des journalistes, vous allez essayer de deviner si c'est Jean-Luc Mélenchon qui insulte un journaliste ou si c'est Nicolas Sarkozy qui respecte la liberté de la presse. C'est parti : "Les journalistes, ce sont des nullards, il faut leur cracher à la gueule, il faut leur marcher dessus, les écraser. Ce sont des bandits. Et encore, les bandits eux, ont une morale". Bien vu, c'est Nicolas Sarkozy, le 18 mars 2009, lors d'une réunion devant les dirigeants de la majorité.

 

pressfreedomAinsi donc le grand pourfendeur de cette corporation est le Président de la République. Ce n'est pourtant pas lui que l'on accuse sans cesse de populisme, que l'on compare à Jean-Marie Le Pen. Ce n'est pas à lui que les journalistes s'adressent avec une déférence coupable. Alors pourquoi ? C'est ça la vraie question qu'il faut se poser. Le petit monde médiatique n'échappe pas aux règles qui régissent la plupart des groupes professionnels : il y a en son sein une frontière de classe qui induit la façon de voir l'actualité. Le stagiaire précaire payé à la pige n'aura pas le même regard que le présentateur vedette payé 400.000€ par an. Et c'est ce dernier qui a l'antenne, celui-là qu'on entend.


Or, Nicolas Sarkozy défend les riches. Inutile ici de rappeler l'ensemble des mesures prises dans ce sens par le gouvernement depuis mai 2007. Jean-Luc Mélenchon prétend, au contraire, prendre aux riches, parmi lesquels figurent l'immense majorité des stars médiatiques de l'actualité. Inutile d'aller chercher ailleurs des raisons. Elles sont là. La levée de boucliers quant à la réaction de Jean-Luc Mélenchon à propos de l'interview de David Pujadas à Xavier Thomas, syndicaliste licencié de chez "Conti", est disproportionnée par rapport au réel traitement que subit la presse dans son ensemble par le pouvoir : menaces, vol d'ordinateurs de journalistes enquêtant sur l'affaire Woerth/Bettencourt, nominations arbitraires, licenciements sur la radio publique de chroniqueurs trop critiques contre la droite, etc.


Pas de faux-semblants, pas d'hypocrisie : ces journalistes-là sont eux-aussi concernés par le "qu'ils s'en aillent tous". Nous avons le courage de le dire. Sans doute alors nous pourrons l'an prochain dépasser le pays qui nous précède au classement.


Au fait, c'est la Papouasie Nouvelle Guinée qui est 43ème.

 

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8 novembre 2010 1 08 /11 /novembre /2010 10:16

 

logement.jpg

Le Collectif des associations unies pour une nouvelle politique publique du logement des personnes sans-abri et mal logées a installé samedi matin 31 tentes, une par membre du Collectif, sur le Pont des Arts à Paris.

 

Lassé des promesses non tenues, le Collectif demande simplement à être reçu à l'Élysée ou à Matignon. Le Parti de Gauche soutient totalement cette demande plus que légitime.


Les sujets d'inquiétude ne manquent pas :

 

- Le budget logement est en baisse et les réserves financières des offices de logements sociaux sont ponctionnées par l'État

 

- La loi dite « Loppsi 2 » permettra d'expulser les personnes considérées comme « squatteurs » sans aucune décision de justice

 

- Le concours de la force publique est régulièrement accordé pour expulser des familles pourtant reconnues prioritaires pour le Droit au logement opposable (DALO).


Martine Billard est venue à la rencontre des associations samedi après-midi pour apporter le soutien du Parti de Gauche. De même, lundi, elle sera présente, ainsi qu'Éric Coquerel, conseiller régional, et Alexis Corbière, conseiller de Paris, au rassemblement organisé par les associations devant l'Assemblée nationale.


Le logement est un droit fondamental, il est plus que temps pour les pouvoirs publics de passer aux actes.

 

Le blog de Martine Billard

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30 octobre 2010 6 30 /10 /octobre /2010 12:41

DemographieFrancaise

 

« Jusqu’en 2035, la proportion de personnes âgées de 60 ans ou plus progressera fortement, quelles que soient les hypothèses retenues sur l’évolution de la fécondité, des migrations ou de la mortalité », avertit l’Insee dans une étude opportunément publiée il y a trois jours. Catastrophe pour le financement des retraites ? Attention aux fausses évidences et voyons plutôt ce qu’en écrit Guillaume Duval, rédacteur en chef de l’excellente revue Alternatives économiques« Le fait que ce travail, base essentielle de la prospective en matières de retraites, ne soit prêt que maintenant, après que le projet de réforme a été voté par le Sénat et l’Assemblée, en dit long sur la précipitation avec laquelle ce texte a été conçu… La publication tardive de ces projections n’en est pas moins utilisée par les défenseurs de la réforme pour souligner l’ampleur des problèmes démographiques  auxquels nous sommes confrontés dans l’espoir de calmer la vindicte populaire à l’égard d’un projet qui comporte de nombreuses mesures injustes. » Que l’UMP s’en empare n’a évidemment rien de surprenant. Plus gênant – mais pas surprenant non plus, las… – est le fait que certains journalistes adoptent l’argument. Ainsi, Françoise Fressoz, chef du service Politique du Monde, répondait aux internautes à l’occasion d’un chat dont rien que le titre constitue une provocation : « Il n’est pas exclu que le grand gagnant soit Sarkozy ». Précisons qu’avant d’officier au Monde, notre héroïne faisait profession d’éditorialiste… aux Echos, Officiel de la pensée libérale… Toujours est-il qu’à la question « La gauche promet de revenir sur cette réforme en 2012… Est-ce vraiment faisable, et à quel prix ? », Fressoz répond : « A titre personnel, cela me semble difficile en raison des évolutions démographiques. L’Insee a donné des chiffres intéressants cette semaine : en 2060, on devrait compter une personne sur trois de plus de 60 ans en France, et le nombre de centenaires pourrait atteindre 200 000.

 

Lire la suite sur le blog Plume de Presse d' Olivier BONNET en cliquant ICI

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Rejoins le Parti de Gauche !

Notre identité

-Le PG est un parti, c’est-à-dire un outil d’élaboration et d’action collectif au service d’un projet et d’une stratégie cohérents. Nationalement et localement, il présentera des candidat-e-s aux élections. Le PG a vocation à devenir majoritaire et à prendre des responsabilités gouvernementales en s’appuyant sur une mobilisation massive, populaire et citoyenne.

-Le PG se veut donc à la fois accueillant et ouvert à la diversité des expériences, à la parole des «sans voix», soucieux de fraternité et de solidarité. Il ne veut pas de clans, de culte du chef ou de domination des «spécialistes» de la politique.

-Le PG demande à chacun de ses membres d’être en veille et en formation politiques permanentes et d’aider les autres à acquérir cette formation, avec comme objectif d’entraîner une majorité populaire au service d’un projet de transformation en profondeur de la société.

-Le PG se veut présent sur le terrain et mène le combat idéologique et politique contre la droite. Pour ce faire, il s’appuie sur la force collective de ses militantes et de ses militants. Il ne focalise pas son énergie sur des querelles internes ; il la consacre aux mobilisations sociales et à son implication dans la vie associative, syndicale, intellectuelle et culturelle de la société. Le PG agit en faveur de l’implication citoyenne à tous les niveaux de la vie sociale, dans la protestation comme dans l’action gouvernementale.

-Le PG respecte l’ensemble des formations de gauche et leurs cultures politiques. Il recherche sans cesse les formes de convergence et d’unité avec comme priorité de battre la droite et d’engager les transformations que l’intérêt général impose.

-Le PG sait que le changement de société auquel il aspire passe par une autre Europe. Né en partie de la mobilisation populaire qui a conduit au rejet du référendum sur le traité européen, il noue des partenariats avec les forces de gauche en Europe favorables à un projet alternatif d’une Europe sociale et démocratique.

-Nous devons opposer à la mondialisation financière et capitaliste des forces populaires coordonnant leurs efforts et refuser un monde unipolaire. Parce que les grands défis d’aujourd’hui se relèvent à l’échelle mondiale, le PG noue les partenariats nécessaires pour élargir son action au-delà des frontières de la France et de l’Europe.

-Le PG veut porter des orientations politiques et un fonctionnement novateurs et originaux, en particulier en matière de démocratie et de culture populaire. Il est donc un parti en chantiers sur son projet, ses programmes, son organisation. Des chantiers auxquels nous appelons à participer toutes celles et ceux qui souhaitent nous rejoindre.

Notre organisation départementale

Les conseillers nationaux titulaires :

 

- Melody Martin (Aix en Provence)
- Anne-Marie Jimenez (St Mitre les Remparts)
- Nicole Sorrentini (Auriol)
- Guy Queytan (Istres)
- Alain Pagliano (Tarascon)
- Rémy Pernaud (Sausset les Pins)
Les conseillers nationaux suppléants :
 
- Michèle Rouby (Martigues)
- Patrick Vedel (Vitrolles)
- Alexandre Ferretti (Aix en Provence)
- Alain Tarrini (La Bédoule)
- André Thomaso (Tarascon)
- Nicolas Dusserre (Aix en Provence)

 

Les secrétaires départementaux :

 

Michèle ROUBY

Enna DUFOUR

Alain TARRINI                  

Guy QUEYTAN

Mail commun : secretariatdepartementalpg13@gmx.fr                        

 

Les co-secrétaires de comité :

 

Arles-Tarascon-Chateaurenard circonscription 15 et 16  Co-secrétaires :

Enna DUFOUR ennatarascon@aol.com
Alain PAGLIANO alain.pagliano@orange.fr

 

Aix en Provence circonscription 11 et 14  Co-secrétaires : 

Jean-Yves SALVAT jysalvat@yahoo.fr 

Melody MARTIN lisazenide@hotmail.com 

 

Vitrolles-Marignane-Berre circonscription 12 Co-secrétaires :

Didier HACQUART didier.hacquart@orange.fr

Monique LAPOTRE bernard.lapotre@sfr.fr

 

Istres-Martigues-Fos circonscription 13 Co-secrétaires :

Guy QUEYTAN guy.queytan@yahoo.fr

Stella APEDDU stella.apeddu@wanadoo.fr

 

Aubagne-La Ciotat circonscription 9  Co-secrétaires :

Alain TARRINI alaint023@orange.fr

Michèle GIBERT mic.gibert@wanadoo.fr

 

Adhésion au Parti de Gauche

L'adhésion au Parti de Gauche comprend l'abonnement au journal hebdomadaire À Gauche. La cotisation, versée à l'AFPG (Association de Financement du Parti de Gauche*), donne droit à une réduction d'impôts de 66% de son montant.
Ce montant, fixé nationalement, est modulé en fonction des revenus. Une cotisation spécifique est versée par les élus en fonction du montant de leur indemnité.

 La cotisation militante est fixée par tranches en fonction du revenu, elle peut être réglée par prélévement mensuel :

  • inférieur à 1000 € : 36 € annuels
  • entre 1000 et 1500 € : 60 € annuels
  • entre 1500 et 2000 € : 120 € annuels
  • entre 2000 et 3000 € : 300 € annuels
  • supérieur à 3000 € : 480 € annuels et plus...

Pour adhérer en ligne :  http://www.lepartidegauche.fr/paybox/adhesion.html

Je soutiens le Parti de Gauche

Depuis la loi du 19 janvier 1995, seules les personnes physiques sont autorisées à verser des dons. Votre don ouvre droit à une réduction d'impôts. La réduction est égale à 66 % des sommes versées dans la limite de 20 % du revenu imposable.

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1 avenue Jean RIEUX

31500 TOULOUSE

Siret : 48017024000034

Cnil : 1130398

Contact tél : 0170945404

 

Administrateur : Guy Queytan

Mail : guy.queytan@yahoo.fr

Contact tél : 0634686802

 

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