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6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 07:00

couv cnr

 

Ces élections cantonales sont caractérisées par un forte participation par rapport à la moyenne nationale 63,64 % au premier tout 76,47 % au deuxième.

 

Il se confirme pour ceux qui en douterait que Caizergues est bien le faux nez de la droite dite républicaine et de la droite extrême.

 

Le candidat du FDG non seulement fait le plein des voix de gauche, mais profite d'une impressionnante mobilisation au second tour de 562 voix supplémentaires. Le candidat de droite restant en lice fait lui aussi le plein de ses voix mais en trouve encore 178 de plus, il bénéficie lui aussi d'une importante mobilisation de l'électorat.

 

+ 796 électeurs de plus

+ 740 exprimés de plus

+ 56 blancs ou nuls supplémentaires


Le FDG doit sur PSL s'employer davantage encore à fonctionner de manière plus conforme à ce que doit être une coalition de forces progressistes. Le PC doit confirmer sa volonté d'habiter le FDG avec d'autres, non seulement dans les phases de campagne, mais également dans celles de préparation des programmes et de choix des candidats. Il ne s'agit pas de contester qu'en l'état actuel il reste en nombre de voix la première force organisée à la gauche du PS et plus encore dans le FDG.

Mais ainsi qu'il est dit plus haut, la réalité locale est que la gauche radicale est composée d'autres forces, sinon organisées, du moins bien présentes en électeurs potentiels et factuels : lors des élections présidentielles les divers candidats d’extrême gauche ont (en voix totalisées) au premier tour fait presque jeu égal avec la candidate du PC.


Ces autres tendances de la gauche radicale et plus particulièrement le NPA, n'ont pas voulu prendre le risque de présenter un candidat sachant que les choses allaient être extrêmement serrées et risquer d'être celles qui avaient gagner le candidat de la droite.


Il faut saluer ce sens de la responsabilité du NPA local. Il faut aussi espérer que le PC fera de même et ne se contentera pas de considérer « que le NPA a eu peur de réaliser un score trop faible ». Sans cela il est quasiment certain qu'il finira par être pris au mot et qu'une liste et/ou des candidatures de gauche, distinct(e)s de celle(s) du FDG et du PS seront présent(e)s lors des prochaines consultations locales, avec des candidats connus, respectés et crédibles.Si nous ne voulons pas voir revenir une situation qui a été celle de PSL durant 20 : la gauche majoritaire dans toutes les élections sauf les municipales et les cantonales il va falloir apprendre à discuter et associer d'autres forces que celles actuellement représentées au conseil municipal.

 

- Il va falloir apprendre à analyser la situation locale, les attentes des habitants, avec un autre grille que celle qui est actuellement utilisée.Il va falloir également revisiter le slogan de campagne des municipales « Écrire une histoire à 8 000 mains », en se rappelant que ce sont les cerveaux qui commandent aux mains... Et faire comme le disait l'autre « Le pari de l'intelligence ».


- Il va falloir réfléchir à la question du cumul des mandats, par souci déontologique d'une part mais par pragmatisme (je reviendrais sur ce concept) : prouver qu'il n'y a pas à PSL qu'une seule personne capable de porter l'étendard progressiste, que la gauche locale est au contraire riche de ressources humaines et militantes. Que dans la France du 21ème siècle un élu progressiste trouve largement de quoi utiliser son énergie et ses compétences sur une responsabilité élective.

 

- Il va falloir revisiter la conception et la mise en œuvre de la démocratie participative, créer des modalités de fonctionnement qui donnerons la possibilité à toutes les volontés militantes et citoyennes de s'exprimer et d'être prises en compte. Non pas dans le souci de préserver des susceptibilités individuelles mais dans celui d'intégrer le maximum de réflexions et de propositions à la détermination commune de ce que doit être le bien commun.


Ceci n'est pas facile, et nécessite plus d'efforts, plus de travail, plus de débats, implique plus de risques que la démagogie. Ceci s'appelle l'éducation populaire, fondamental du programme du Conseil National de la Résistance, sous titré « Les jours heureux ». C'est ainsi qu'il avait été élaboré : dans une large concertation de toutes les forces progressistes. Le Parti de Gauche a inscrit lui aussi l'éducation populaire dans ses fondamentaux, il lui faudra amener ses partenaires à considérer qu'il doit en être de même pour eux.


L'enjeu vital ici et ailleurs, c'est la responsabilité historique de tous les politiques et militants progressistes et d'amener tous les citoyens à se ressaisir du fait politique.


Angélisme ? Rêves de songe creux ? Chimères ? Utopies ? Que non ! C'est au contraire faire preuve du plus grand des pragmatismes que de mener la seule politique qui puisse éviter de se retrouver sous « Le talon de fer » qu'avait cauchemardé Jack London.


Commençons donc dans notre ville à faire de nos concitoyens des producteurs du politique en termes de projets, en termes de contenus, ils sauront également alors raisonner en termes de moyens.


Georges Flangakis

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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 17:06

articlemarseillaise02022011 001

 

Seul l'arbre qui a subi les assauts du vent est vraiment vigoureux, car c'est dans cette lutte que ses racines, mises à l'épreuve, se fortifient.
Sénèque

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30 janvier 2011 7 30 /01 /janvier /2011 20:06

eaupatriciaseillans

 

De toutes parts nous entendons parler de collectivités territoriales ou de regroupements de collectivités qui remettent en cause la gestion privatisée de l'eau et de l'assainissement et choisissent le retour en gestion publique.

 

Pour un exposé plus exhaustif de la question : Cf. (entre autres) le petit ouvrage de Gabriel Amard, « L'eau n'a pas de prix. Vive la régie publique » éd Bruno Leprince, collection « politique à gauche », à l'appel de Varages, à la fondation France Libertés etc... et la production du Parti de Gauche.

 

Tout humain et au delà tout ce qui vit, est usager de l'eau puisqu'elle est indispensable à la vie justement. L'essentiel de la population Française (mais pas toute), est raccordé à un réseau d'eau potable et d'assainissement. De ce fait la plupart des Français reçoit une facture émise soit par la régie publique qui en a la charge, soit par une régie déléguée, donc privée : essentiellement par l'une des deux « majors », Vivendi et Véolia. Ce lot commun des populations sur un sujet qui touche chacun, peut donc devenir un point d'accrétion de leur attention mais aussi moyen de prise de conscience de leurs intérêts communs et enfin un déterminant pour une action citoyenne et collective.

 

La question de la gestion de l'eau est en effet une bonne illustration du clivage idéologique entre une pensée libérale basée sur la production de la plus-value comme finalité, et une pensée progressiste basée sur la production de la richesse commune. En d'autres termes c'est une excellent démonstration que la marge que dégage Véolia ou Suez est inutile à la jouissance due à chacun d'un réseau d'eau potable, richesse commune, et du traitement des eaux usées, problème commun.

 

On peut donc facilement démontrer que la marge du concessionnaire privé n'est rien d'autre qu'un impôt privé (suivant l'expression de qui vous savez). A nous d'exploiter cela, d'en faire la démonstration par une action politique, didactique, d'éducation populaire. En effet « l'immédiateté » de ce sujet, puisqu'il concerne le porte monnaie peut permettre répétons le de capter l'intérêt de la population et l'inciter à se l'approprier en entrant dans le débat qui lui serait proposé. Ce débat doit être conduit partout dans une logique de proximité communes, quartiers, et plus globale à l'échelon de décision communauté de communes.

 

Une illustration de ceci : lors d'un précédent article j'évoquais la situation à Port Saint Louis du Rhône. Rappelons brièvement qu'un collectif informel local avait interpellé le maire et le président du SAN Ouest Provence quant aux conséquences de la construction de la station d'épuration sur la facture des usagers. L'argument suivant lequel ce coût serait minoré en raison de concours financiers publics divers (CG 13, Région PACA, Agence de l'eau etc) ne peut pas nous satisfaire. Tant que l'exploitation sera assurée par un concessionnaire privé cela revient à financer celui ci. Le maire de PSL s'est engagé à faire un audit sur les conditions de la privatisation et sur les modalités de la gestion par la SEERC (filiale Suez), notamment sur l'explosion des coûts facturés et le fait que l'entretien du réseau a été minimaliste (25 millions d'Euros pour le remettre en état alors que cela est facturé depuis 22 ans aux usagers).

 

Au delà les deux élus se sont engagés à lancer un débat à l'échelle du SAN sur le mode de gestion (nous approchons de la période ou les contrats de concession doivent être renouvelés). Il nous appartient donc de leur rappeler cette promesse et peut être même de lancer cette procédure si la célérité venait à leur faire défaut, ou si les modalités d'organisation de ce débat nous semblaient insuffisantes .

 

La question est : devons nous, Parti de Gauche, le conduire seul ou avec le Front de gauche, voire le cas échéant avec d'autres partenaires ?

 

Bien évidemment ce qui est dit sur l'eau peut être décliné sur tous les services publics aujourd'hui mis en cause (la loi NOME pour EDF avec ses nouveaux compteurs « big brotheriens » par exemple pour rester dans l'actualité) et sur d'autres domaines du secteur privé comme l'industrie pharmaceutique.

 

 

Les outils et personnes ressources (Michel Partage auteur de l'appel de Varages, Gabriel Amar, Vincent Porelli etc) ne manquent pas pour illustrer les débats qui seraient organisés, voire pour qu'ils soient plus attractifs qu'une réunion traditionnelle.

 

Je pense au film « Water Makes Monney », mais aussi à ce type de partenaires et d'actions :

 

 http://www.le-pave-en-cevennes.info/

 

 

Georges Flangakis (Port Saint Louis du Rhône)

Comité PG 13-13

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27 janvier 2011 4 27 /01 /janvier /2011 14:44
bouclier 
Le décret qui permet de suspendre ou de supprimer les allocations familiales en cas d'absentéisme scolaire entre en vigueur ce lundi....Munissez-vous de sacs plastiques résistants et adaptés, on y va !
 
C'est à l'initiative d' Eric CIOTTI Président UMP du Conseil Général et Député des Alpes Maritimes mais aussi Président du parc du Mercantour et  secrétaire national de l' UMP en charge des questions de sécurité que cette disposition indigne adoptée le 29 juin par l'Assemblée Nationale puis votée par le Sénat le 15 septembre a vu le jour.

Quelles en sont les grandes lignes ?

En cas d'absentéisme scolaire (à partir de quatres demies journées sur un mois), le directeur de l'organisme débiteur de prestations familiales est tenu de suspendre, sur demande de l'inspecteur d'académie, le versement de la part des allocations familiales dues au titre de l'enfant absentéiste.

Une première remarque, c'est donc  maintenant un cadre de l'Education Nationale (auparavant ce sale boulot été dévolu aux Présidents de CG qui ne l'on pratiquement pas appliqué) qui a en charge la décision et la lourde responsabilité, de placer dans une précarité accrue, des Familles déjà fortement éprouvées par la crise économique, aggravant ainsi leur situation, il serait d'ailleurs intéressant de savoir ce qu'en pensent nos enseignants...

Jusqu'à présent les Familles en difficultés devaient faire face aux coupures d'eau, de gaz, d'électricité, à la visite des Huissiers, à la gourmandise aveugle de leur banque, aux difficultés pour se loger, se chauffer, se vétir , se nourrir, et enfin à l'absence d'un pouvoir d'achat pourtant promis par le candidat SARKOZY en 2007. Et bien, les Ministres de l' Education Nationale (Luc CHATEL) et des  Solidarités (Roselyne BACHELOT) signataires du décret 2011-89 du 21 janvier 2011, publié ce lundi au journal officiel, ont décidé d'en rajouter ! 
 
Les manants de la France d'en bas, habitués à courber l'échine, peuvent bien supporter cette nouvelle épreuve n'est-ce pas ? 

Au diable les réflexions consistant à chercher à comprendre pourquoi l'absentéisme se développe et si notre système scolaire nécessite de profondes réformes, inutile d'aller voir ce qui se passe derrière les volets clos de ces cités infâmes où s'entassent parfois dans quelques mètres carrés des Familles nombreuses déjà en situation de survie et parfaitement ignorées par une oligarchie bien pensante, saupoudrée comme des Baronnes d'un autre temps hautaines, méprisantes et autistes.

Ainsi va la "nouvelle" République qui de protectrice a endossé sans vergogne le statut d'oppressante  pour ceux qui ne sont pas nés du bon côté de la barrière. 
 
Le Député UMP CIOTTI élu cumulard commence le travail, une Assemblée bienveillante et un Sénat somnolent valident, puis une Ministre des Solidarités (on ne rit pas) enfonce le clou avec la complicité irresponsable d'un collègue du gouvernement ayant pourtant en charge l' Education Nationale et donc le devenir de la Nation ! 

Au fait Mr le Député CIOTTI quand une Famille ne perçoit pas d'allocation familiale, avec 1 enfant par exemple que fait-on ? On colle un timbre-amende au profit des parlementaires cumulards sur le front du gamin ? On ponctionne directement le SMIC du Père de famille ? On impose une surtaxe à la maman lorsqu'elle fait ses courses chez Aldi ?

Bienvenue au Pays de la précarité organisé !!!

Guy Queytan
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24 décembre 2010 5 24 /12 /décembre /2010 18:33

IMGP4196

 

 

A la tribune le Président du SAN Bernard Granié, le Maire de PSL, sa première adjointe (qui n'interviendra pas), ayant la délégation de l'eau et de l'assainissement au SAN, le DGS de la ville, l'air fort ennuyé d'être là, un fonctionnaire du SAN.

 

La ville de Port St Louis du Rhône vient de terminer la construction de sa station d'épuration des eaux usées, se mettant ainsi en conformité avec la législation européenne. L'occasion pour la municipalité de gauche d'organiser une « réunion publique d'information » mardi 12 décembre, afin d'expliquer à la population les conséquences de ce nouvel équipement sur la facture des usagers.


Le Maire (qui dira le plus souvent « je » la où j'aurais aimé entendre « nous », car je suis de l'école qui pense le collectif prime, et qu'un maire est le mandataire de son conseil municipal, mais bon...) expose que son coût de plus de 8 millions d'euros, sera quasi intégralement couvert par des concours et subventions publiques, (ville de PSL, SAN Ouest Provence, CG13, Région, agence de l'eau).

 

Le m2 d'eau sera désormais facturé 3,50 € TTC aux usagers de PSL contre 2,10 € avant cet investissement, (sans les concours des différentes collectivités et agences (sollicitées par le Maire donc), il aurait frôlé les 4,5 €).

 

Divers intervenants (Marc Géniez, Dimitri Papachristou et votre serviteur, devaient faire un historique de l'histoire de l'eau et l'assainissement à PSL, en s'appuyant sur des éléments factuels : délibérations du CM et contrats passés avec la SEERC (aujourd'hui Suez environnement).

 

Il faut évidemment féliciter la municipalité actuelle d'avoir pu ainsi réduire la charge payée par les usagers, d'autant plus qu'il lui a fallut agir dans l'urgence après son élection, ayant héritée de la situation laissée par l'incurie de la municipalité de droite.

 

Rappelons que celle ci avait privatisée la régie municipale directe dés son élection en 1989. Sans entrer dans le détail, les conséquences en sont un prix du m3 multiplié par 5 en 20 ans (alors que PSL avait un des coûts les plus bas du département), une station d'épuration qui devait être construite en 1993... des provisions passées pour cet équipement dont le trajet et l'affectation finale posent question.

 

Passons sur l'outrecuidance de l'ancien maire de droite responsable de cette privatisation qui ose demander lorsque la parole est donnée au public ce qu'il en est de la municipalisation promise par son successeur...

 

Nous avons posé en tant que citoyens plusieurs questions, et faits plusieurs demandes :

 

Un audit financier des relations de la Ville de PSL et de la SEERC/Suez sur les 20 dernières années fait par un expert comptable qualifié et indépendant.

 

Engagement pris par les élus à la tribune.

 

Faudra t'il attendre 20 ans (durée de la concession) pour récupérer la station dans un service de gestion publique directe de l'eau, que nous souhaitons voir géré par l'intercommunalité ?

 

Les marges que Suez va réaliser sur les résultats d'exploitation dégagés sur 3 600 usagers (compteurs d'eau) sont elles normales, alors qu'elle n'a rien mis ou si peu dans l'investissement et alors que des efforts significatifs ont été faits par les partenaires publics ?

 

Une question posée (ou à poser) à l'ancien maire : pourquoi a t il fallu attendre 20 ans pour que la station promise en 1993 par lui soit réalisée, pourquoi n'a t il fait aucune démarche, où des démarches très limités pour son cofinancement ?

 

Pas de réponse de la par de l'ancien maire présent dans la salle.

 

Aux élus actuels, le Maire de PSL, sa première adjointe par ailleurs vice présidente ayant la délégation de l'eau et de l'assainissement au SAN, au Président de ce dernier, s'ils étaient partisans d'un retour en gestion directe de l'eau et de l'assainissement ?

 

Les élus à la tribune réaffirment leur attachement à la gestion publique et qu'il en est de même pour leurs organisations respectives, PS compris, (si, si !).

 

Ne faudrait il pas lancer une étude sur les coûts comparés des modes de gestions public/privé ?

 

L'idée semble être acceptée et même à l'étude.

 

D'un réseau quasi neuf lorsqu'il fut confié au fermier (SEERC : Suez Environnement), nous savons (dixit le maire) qu'il nécessite aujourd'hui 23 millions d'€ de remise en état, (alors que l'entretien est facturé aux usagers), depuis 20 ans, est ce normal ?


Peut on connaître la composition des membres et les délibération de la commission consultative des services publics en régie directe ou déléguée ?

 

Réponse du président Granié : cette commission existe, sa composition et ses délibérations sont disponibles pour le public.

 

En définitive mon opinion est la suivante : le Port Saint Louisien usager du service de l'eau que je suis, constate que sa facture sera moins chère qu'elle n'aurait pu être. Fort bien. Mais il constate également in fine que c'est toujours de l'argent public qui finance le privé et les marges de celui-ci.

 

En d'autres termes que l'on me prenne mon argent dans la poche « usager de l'eau/client de Suez », dans la poche contribuable St Louisien, dans la poche contribuable des Bouches du Rhône, contribuable de PACA et autres (agence de l'eau), je n'aime pas que l'on me fasse les poches !

 

Georges Flangakis

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9 décembre 2010 4 09 /12 /décembre /2010 13:05

quatuor-second-life

La promotion et la protection des droits de l'homme sont l'une des préoccupations majeures de l'Organisation des Nations Unies depuis 1945, date à laquelle les pays fondateurs de l'Organisation ont décidé d'empêcher à jamais que les horreurs de la seconde guerre mondiale ne se reproduisent.

Comme l'Assemblée générale l'a déclaré trois années plus tard dans la Déclaration universelle des droits de l'homme, le respect des droits de l'homme et de la dignité humaine "est le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde".

En 1950, l'Assemblée générale a invité tous les États et toutes les organisations intéressées à adopter le 10 décembre de chaque année comme Journée des droits de l'homme (résolution 423), pour marquer l'anniversaire de l'adoption de la Déclaration universelle des droits de l'homme (1948).

Au fil des années, tout un ensemble d'instruments et de mécanismes de défense des droits de l'homme a été mis en place pour assurer la primauté de ces droits et s'attaquer aux violations dont ils font l'objet, où qu'elles se produisent.

 

Pour accéder au Forum Mondial des Droits de l' Homme, cliquez ICI

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21 novembre 2010 7 21 /11 /novembre /2010 12:00

 

Le comité Parti de Gauche 13ème circonscription organise le vendredi 26 novembre à 18H30 une réunion publique à Saint Mitre les Remparts sur les thèmes suivants :

 

"Contre-vérités de la réforme des retraites" et  "Politique menée par le gouvernement"

 

La manifestation se déroule dans la salle mise à notre disposition par le café de l'OUSTAOU qui se trouve place NEUVE, au centre du village

 

L'intervenant est notre Camarade Alain BARLATIER Professeur, Syndicaliste,membre du Parti de Gauche

 

En seconde partie de notre rencontre Hélène LECACHEUX membre du Bureau National  développera les objectifs et le positionnement du Parti de Gauche.

 

alainbarlatierLa réunion sera suivie d'un buffet proposé par l'Oustaou au tarif de 5 euros par personne

 

Nous espérons avoir le plaisir de vous compter parmi nos invités

 

Inscriptions par mail : partidegauche13.13@gmail.com

 

Contact local : Stella APEDDU au 06 12 41 70 10

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17 novembre 2010 3 17 /11 /novembre /2010 06:55

referendum-retraites-complet

Une piste de résistance concernant la réforme des retraites : La pétition lancée par le journal POLITIS !


L'article 11 de la Constitution ayant été révisé en 2008, il y a moyen de contraindre le Président de la République de proposer un référendum sur les retraites, à condition que ce référendum soit proposé par 1/5 des parlementaires, eux-mêmes soutenus par 1/10 des électeurs (nous tous).


Pour mémoire, même si la réforme des retraites devait être adoptée par le Sénat et l'Assemblée Nationale, tout n'est pas perdu, la loi peut ne pas être appliquée. Il est encore temps de tout mettre en œuvre pour s'opposer à cette réforme.

Voici donc le lien pour signer cet appel :
 
 http://www.referendumretraites.org/
 
 1/10e des électeurs, ça fait du monde ! A nos claviers ! Envoyons ce lien à tous ceux que nous connaissons, sur toutes les listes que nous  possédons, pour faire boule de neige.

 

Georges FLANGAKIS comité PG 13-13

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6 novembre 2010 6 06 /11 /novembre /2010 13:49
Si je suis encore de ce monde en 2048 (j’aurai 93 ans !!!) qu’aurais-je à dire à mes arrières petits enfants ?
Politique fiction : Si j'avais ma carte de lâche...
Dis donc Papy, c’est bien en 2008 que le Maréchal Sarkozy a pris le pouvoir ?

Euh, c’est plus compliqué que ça. C’est effectivement en 2008 qu’il s’est octroyé les pleins pouvoirs... Mais il était déjà au pouvoir, élu démocratiquement en 2007.


Comment il a fait pour s’octroyer les pleins pouvoirs sans que personne ne gueule ?

Oh y’a bien eu quelques réactions mais le contexte était particulier...

Mais comment un fou pareil est arrivé au pouvoir démocratiquement ?

Disons qu’à l’époque il contrôlait tous les médias. La propagande médiatique a été telle que les gens ont fini par adhérer.

Et il a profité de ses pleins pouvoirs pour briser les libertés individuelles et casser le système social.

Euh non ça en fait, il l’a fait avant…On était encore en démocratie quand il a supprimé la durée légale du travail, vidé de son contenu le code du travail, supprimé la sécu, les retraites, le droit de grève, imposé les nanotechnologies, les OGM, le traité constitutionnel européen …tout en menant une politique fiscale favorable aux riches, en affichant sa vie de milliardaire…on vivait une drôle d’époque tu sais…

Par contre la traque des étrangers, leur enfermement dans des camps ça a commencé avec les pleins pouvoirs ?

Non plus…pour se faire élire, Sarkozy avait mené campagne sur le thème des étrangers qui prennent notre boulot, volent nos enfants, profitent de nos prestations sociales. Donc dès son élection, il a commencé une sorte de grande chasse à l’homme avec comme objectif 25000 arrestations et déportations par an.

Lire la suite en cliquant ICI
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Rejoins le Parti de Gauche !

Notre identité

-Le PG est un parti, c’est-à-dire un outil d’élaboration et d’action collectif au service d’un projet et d’une stratégie cohérents. Nationalement et localement, il présentera des candidat-e-s aux élections. Le PG a vocation à devenir majoritaire et à prendre des responsabilités gouvernementales en s’appuyant sur une mobilisation massive, populaire et citoyenne.

-Le PG se veut donc à la fois accueillant et ouvert à la diversité des expériences, à la parole des «sans voix», soucieux de fraternité et de solidarité. Il ne veut pas de clans, de culte du chef ou de domination des «spécialistes» de la politique.

-Le PG demande à chacun de ses membres d’être en veille et en formation politiques permanentes et d’aider les autres à acquérir cette formation, avec comme objectif d’entraîner une majorité populaire au service d’un projet de transformation en profondeur de la société.

-Le PG se veut présent sur le terrain et mène le combat idéologique et politique contre la droite. Pour ce faire, il s’appuie sur la force collective de ses militantes et de ses militants. Il ne focalise pas son énergie sur des querelles internes ; il la consacre aux mobilisations sociales et à son implication dans la vie associative, syndicale, intellectuelle et culturelle de la société. Le PG agit en faveur de l’implication citoyenne à tous les niveaux de la vie sociale, dans la protestation comme dans l’action gouvernementale.

-Le PG respecte l’ensemble des formations de gauche et leurs cultures politiques. Il recherche sans cesse les formes de convergence et d’unité avec comme priorité de battre la droite et d’engager les transformations que l’intérêt général impose.

-Le PG sait que le changement de société auquel il aspire passe par une autre Europe. Né en partie de la mobilisation populaire qui a conduit au rejet du référendum sur le traité européen, il noue des partenariats avec les forces de gauche en Europe favorables à un projet alternatif d’une Europe sociale et démocratique.

-Nous devons opposer à la mondialisation financière et capitaliste des forces populaires coordonnant leurs efforts et refuser un monde unipolaire. Parce que les grands défis d’aujourd’hui se relèvent à l’échelle mondiale, le PG noue les partenariats nécessaires pour élargir son action au-delà des frontières de la France et de l’Europe.

-Le PG veut porter des orientations politiques et un fonctionnement novateurs et originaux, en particulier en matière de démocratie et de culture populaire. Il est donc un parti en chantiers sur son projet, ses programmes, son organisation. Des chantiers auxquels nous appelons à participer toutes celles et ceux qui souhaitent nous rejoindre.

Notre organisation départementale

Les conseillers nationaux titulaires :

 

- Melody Martin (Aix en Provence)
- Anne-Marie Jimenez (St Mitre les Remparts)
- Nicole Sorrentini (Auriol)
- Guy Queytan (Istres)
- Alain Pagliano (Tarascon)
- Rémy Pernaud (Sausset les Pins)
Les conseillers nationaux suppléants :
 
- Michèle Rouby (Martigues)
- Patrick Vedel (Vitrolles)
- Alexandre Ferretti (Aix en Provence)
- Alain Tarrini (La Bédoule)
- André Thomaso (Tarascon)
- Nicolas Dusserre (Aix en Provence)

 

Les secrétaires départementaux :

 

Michèle ROUBY

Enna DUFOUR

Alain TARRINI                  

Guy QUEYTAN

Mail commun : secretariatdepartementalpg13@gmx.fr                        

 

Les co-secrétaires de comité :

 

Arles-Tarascon-Chateaurenard circonscription 15 et 16  Co-secrétaires :

Enna DUFOUR ennatarascon@aol.com
Alain PAGLIANO alain.pagliano@orange.fr

 

Aix en Provence circonscription 11 et 14  Co-secrétaires : 

Jean-Yves SALVAT jysalvat@yahoo.fr 

Melody MARTIN lisazenide@hotmail.com 

 

Vitrolles-Marignane-Berre circonscription 12 Co-secrétaires :

Didier HACQUART didier.hacquart@orange.fr

Monique LAPOTRE bernard.lapotre@sfr.fr

 

Istres-Martigues-Fos circonscription 13 Co-secrétaires :

Guy QUEYTAN guy.queytan@yahoo.fr

Stella APEDDU stella.apeddu@wanadoo.fr

 

Aubagne-La Ciotat circonscription 9  Co-secrétaires :

Alain TARRINI alaint023@orange.fr

Michèle GIBERT mic.gibert@wanadoo.fr

 

Adhésion au Parti de Gauche

L'adhésion au Parti de Gauche comprend l'abonnement au journal hebdomadaire À Gauche. La cotisation, versée à l'AFPG (Association de Financement du Parti de Gauche*), donne droit à une réduction d'impôts de 66% de son montant.
Ce montant, fixé nationalement, est modulé en fonction des revenus. Une cotisation spécifique est versée par les élus en fonction du montant de leur indemnité.

 La cotisation militante est fixée par tranches en fonction du revenu, elle peut être réglée par prélévement mensuel :

  • inférieur à 1000 € : 36 € annuels
  • entre 1000 et 1500 € : 60 € annuels
  • entre 1500 et 2000 € : 120 € annuels
  • entre 2000 et 3000 € : 300 € annuels
  • supérieur à 3000 € : 480 € annuels et plus...

Pour adhérer en ligne :  http://www.lepartidegauche.fr/paybox/adhesion.html

Je soutiens le Parti de Gauche

Depuis la loi du 19 janvier 1995, seules les personnes physiques sont autorisées à verser des dons. Votre don ouvre droit à une réduction d'impôts. La réduction est égale à 66 % des sommes versées dans la limite de 20 % du revenu imposable.

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1 avenue Jean RIEUX

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Siret : 48017024000034

Cnil : 1130398

Contact tél : 0170945404

 

Administrateur : Guy Queytan

Mail : guy.queytan@yahoo.fr

Contact tél : 0634686802

 

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